Cette décision est intervenue sur l’insistance des leaders syndicaux, au terme d’une assemblée générale houleuse destinée à recueillir la position des adhérents sur des propositions formulées par le gouvernement.
Face une frange d’adhérents déterminés à poursuivre le mouvement, ces derniers ont fait valoir l’essoufflement et les conséquences sociales de la grève ainsi que l’a priori de bonne foi dont doit bénéficier le gouvernement pour appeler à la reprise du travail dès le 25 février prochain.
Cet appel à la reprise du travail intervient 3 jours après la reprise des négociations avec le gouvernement, qui a proposé de payer 2 mois de salaires sur les 7 réclamés par les grévistes.
Les partenaires sociaux devraient se retrouver samedi après midi au siège de l'Asecna, à Bangui afin de conclure ces négociations ouvertes 3 jours plus tôt par M. Faustin Archange Touadéra, qui a succédé à Elie Doté au poste de Premier Ministre le 22 janvier dernier.
Les syndicats ont entamé la grève, le 2 janvier dernier, après que le gouvernement, alors dirigé par le Premier Ministre Elie Doté, eût avoué son incapacité à satisfaire leurs revendications concernant le versement de 7 mois d’arriérés de salaires et le déblocage des effets financiers des avancements gelés depuis 1986, rappelle-t-on.
Face une frange d’adhérents déterminés à poursuivre le mouvement, ces derniers ont fait valoir l’essoufflement et les conséquences sociales de la grève ainsi que l’a priori de bonne foi dont doit bénéficier le gouvernement pour appeler à la reprise du travail dès le 25 février prochain.
Cet appel à la reprise du travail intervient 3 jours après la reprise des négociations avec le gouvernement, qui a proposé de payer 2 mois de salaires sur les 7 réclamés par les grévistes.
Les partenaires sociaux devraient se retrouver samedi après midi au siège de l'Asecna, à Bangui afin de conclure ces négociations ouvertes 3 jours plus tôt par M. Faustin Archange Touadéra, qui a succédé à Elie Doté au poste de Premier Ministre le 22 janvier dernier.
Les syndicats ont entamé la grève, le 2 janvier dernier, après que le gouvernement, alors dirigé par le Premier Ministre Elie Doté, eût avoué son incapacité à satisfaire leurs revendications concernant le versement de 7 mois d’arriérés de salaires et le déblocage des effets financiers des avancements gelés depuis 1986, rappelle-t-on.