La France, partenaire traditionnelle de la République Centrafricaine, vient par l’entremise de l’Agence Française de développement (AFD) de débourser une forte somme sous forme d’aide budgétaire globale afin de soutenir les efforts du gouvernement pour le relèvement du pays.
10 millions d’euro, soit 6,55 milliards de franc CFA, déposés sur le compte du trésor public, permettront au gouvernement de réaliser plusieurs projets d’ordre social.
A titre de rappel, cette aide budgétaire a été gelée par la France depuis 2021 malgré plusieurs plaidoyers de la part des plus hautes autorités du pays.
Le président de la République Centrafricaine, Faustin Archange Touadéra, dans sa politique de diversification des partenaires, n’a cessé d’être en contact avec la France, et des rencontres se sont multipliées entre l’Elysée et la Renaissance aboutissant ainsi à la redéfinition d’une nouvelle feuille de route le 17 avril 2024.
La signature à Bangui le 13 novembre 2024 de cette convention d’appui budgétaire entre le Ministre des Finances Hervé Ndoba et l’Ambassadeur plénipotentiaire et extraordinaire Bruno Daniel Jean Michel Foucher montre à suffisance la reprise de la coopération chaleureuse qui existait entre ces deux pays.
Ce fonds servira entre autres à l’appui à la gouvernance économique et financière, à la résorption des arriérés de salaire, et au renforcement de la contribution de la RCA à l’organisation des élections groupées de 2025,
La RCA a sollicité cet appui dans le but d’accompagner ses efforts pour atteindre les objectifs de reformes en matières de gestion de finance publique qu’elle s’est fixée.
Le programme économique et financier que soutient la Facilité Elargie de Crédit (FEC) avec le Fonds Monétaire International (FMI) fait partie des volets que le gouvernement compte prendre en charge dans cette enveloppe.
Ce qu’il faut noter dans cette nouvelle donne est que cette aide budgétaire globale demeure une composante non négligeable que la France accorde en faveur du développement de la RCA.
Elle apporte donc à la RCA une bouffée d’oxygène pour une stabilisation macroéconomique et financier afin de créer des conditions favorables à une croissance durable et réduire ainsi la pauvreté.
10 millions d’euro, soit 6,55 milliards de franc CFA, déposés sur le compte du trésor public, permettront au gouvernement de réaliser plusieurs projets d’ordre social.
A titre de rappel, cette aide budgétaire a été gelée par la France depuis 2021 malgré plusieurs plaidoyers de la part des plus hautes autorités du pays.
Le président de la République Centrafricaine, Faustin Archange Touadéra, dans sa politique de diversification des partenaires, n’a cessé d’être en contact avec la France, et des rencontres se sont multipliées entre l’Elysée et la Renaissance aboutissant ainsi à la redéfinition d’une nouvelle feuille de route le 17 avril 2024.
La signature à Bangui le 13 novembre 2024 de cette convention d’appui budgétaire entre le Ministre des Finances Hervé Ndoba et l’Ambassadeur plénipotentiaire et extraordinaire Bruno Daniel Jean Michel Foucher montre à suffisance la reprise de la coopération chaleureuse qui existait entre ces deux pays.
Ce fonds servira entre autres à l’appui à la gouvernance économique et financière, à la résorption des arriérés de salaire, et au renforcement de la contribution de la RCA à l’organisation des élections groupées de 2025,
La RCA a sollicité cet appui dans le but d’accompagner ses efforts pour atteindre les objectifs de reformes en matières de gestion de finance publique qu’elle s’est fixée.
Le programme économique et financier que soutient la Facilité Elargie de Crédit (FEC) avec le Fonds Monétaire International (FMI) fait partie des volets que le gouvernement compte prendre en charge dans cette enveloppe.
Ce qu’il faut noter dans cette nouvelle donne est que cette aide budgétaire globale demeure une composante non négligeable que la France accorde en faveur du développement de la RCA.
Elle apporte donc à la RCA une bouffée d’oxygène pour une stabilisation macroéconomique et financier afin de créer des conditions favorables à une croissance durable et réduire ainsi la pauvreté.