Ces assises ont pour objectif de procéder à l’évaluation des performances commerciales et à l’identification des secteurs ayant le plus grand potentiel en matière d’exportation et de dresser un aperçu des principales contraintes au commerce pouvant contribuer à la réalisation de la vision du gouvernement défini dans le Plan National de Développement(PND) 2024-2028.
Selon Alain Douathe Koyangozo, expert en intégration du commerce, ce moment permet de tirer de leçon sur les forces et faiblesses des études des années antérieures en ce qui concerne le secteur du commerce en vue de s’approprier des différentes recommandations figurées dans les précédentes recommandations.
« C’est pourquoi le ministère de commerce a décidé de convoquer les parties prenantes, étant donné que lors de différentes phases de la réalisation de cette étude, nombreux n’ont pas pris part à cette phase d’étude, il fallait convoquer cette réunion pour présenter les différentes recommandations sous formes d’action qui concerne tous les secteurs économiques de notre pays pour la meilleure appropriation et aussi cela permettrait à chaque entité concernée de procéder à la mise en œuvre de ces différentes recommandations. », a-t-il expliqué.
Il a poursuivi en ajouté que c’est une occasion de mettre en valeur tous les documents politiques du développement de commerce afin d’espérer l’intégration du commerce qui est la prise en compte du volet commercial.
« Il est question que dans tous ces documents de politiques commerciales que ça soit du côté du gouvernement que ça soit du côté des partenaires, il faut que le volet du commerce soit pris en compte parce que c’est le commerce qui développe le pays, le commerce est transversal, le commerce est à la base de tout. Tout ce qu’on produit la finalité c’est de vendre au niveau du marché local et à l’échelle internationale », a martelé l’expert Alain Douathe Koyangozo.
Pour le directeur de cabinet du ministère de commerce et de l’industrie Ghislain Kongbo-Ngombé, il s’est appesanti sur l’importance du suivi-évaluation et la mise en œuvre du contenu de cette étude.
« Elaborer et faire valider de telle étude est une bonne chose, mais mettre en œuvre son contenu est très important. C’est pourquoi, en plus de diagnostic et des recommandations, l’étude comporte une matrice des actions à mettre en œuvre par chaque institution ou entité compétente en vue de contribuer à l’amélioration du climat des affaires dans notre pays. », a dit le directeur de cabinet du ministère de commerce et de l’industrie.
Il convient de dire que la République Centrafricaine est figurée parmi les pays dits les moins avancés d’Afrique et est accédée au programme du Cadre Intégré Renforcé(CIR) en 2005 et sa première réalisation d’étude diagnostique sur l’Intégration du Commerce(EDIC) remonte en 2007.
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Selon Alain Douathe Koyangozo, expert en intégration du commerce, ce moment permet de tirer de leçon sur les forces et faiblesses des études des années antérieures en ce qui concerne le secteur du commerce en vue de s’approprier des différentes recommandations figurées dans les précédentes recommandations.
« C’est pourquoi le ministère de commerce a décidé de convoquer les parties prenantes, étant donné que lors de différentes phases de la réalisation de cette étude, nombreux n’ont pas pris part à cette phase d’étude, il fallait convoquer cette réunion pour présenter les différentes recommandations sous formes d’action qui concerne tous les secteurs économiques de notre pays pour la meilleure appropriation et aussi cela permettrait à chaque entité concernée de procéder à la mise en œuvre de ces différentes recommandations. », a-t-il expliqué.
Il a poursuivi en ajouté que c’est une occasion de mettre en valeur tous les documents politiques du développement de commerce afin d’espérer l’intégration du commerce qui est la prise en compte du volet commercial.
« Il est question que dans tous ces documents de politiques commerciales que ça soit du côté du gouvernement que ça soit du côté des partenaires, il faut que le volet du commerce soit pris en compte parce que c’est le commerce qui développe le pays, le commerce est transversal, le commerce est à la base de tout. Tout ce qu’on produit la finalité c’est de vendre au niveau du marché local et à l’échelle internationale », a martelé l’expert Alain Douathe Koyangozo.
Pour le directeur de cabinet du ministère de commerce et de l’industrie Ghislain Kongbo-Ngombé, il s’est appesanti sur l’importance du suivi-évaluation et la mise en œuvre du contenu de cette étude.
« Elaborer et faire valider de telle étude est une bonne chose, mais mettre en œuvre son contenu est très important. C’est pourquoi, en plus de diagnostic et des recommandations, l’étude comporte une matrice des actions à mettre en œuvre par chaque institution ou entité compétente en vue de contribuer à l’amélioration du climat des affaires dans notre pays. », a dit le directeur de cabinet du ministère de commerce et de l’industrie.
Il convient de dire que la République Centrafricaine est figurée parmi les pays dits les moins avancés d’Afrique et est accédée au programme du Cadre Intégré Renforcé(CIR) en 2005 et sa première réalisation d’étude diagnostique sur l’Intégration du Commerce(EDIC) remonte en 2007.
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