L'objectif de cet atelier est de projeter, avec les partenaires du HCR, les programmes en faveur des personnes relevant de son mandat qui sont les réfugiés, les déplacés internes, les retournés volontaires et les demandeurs d'asile.
A l'ouverture des travaux, le Ministre de la Sécurité publique, Henri Wanzet Linguissara, s'est félicité des attributs des précédents travaux ayant abouti à la mise en service des cartes biométriques sécurisées pour les réfugiés et surtout l'opération de rapatriement des réfugiés soudanais du camp de Pladama Ouaka dans leur pays d'origine, plus précisément à Nyala.
Au-delà de ces avancées, d'autres problèmes sont survenus, notamment les présences résiduelles de réfugiés à Mboki et Obo (Haut-Mbomou), Sam Ouandja (Haute Kotto), et Molangué (Lobaye), ainsi que l'afflux de réfugiés sud-soudanais à Obo et tchadiens à Ndélé.
Pour le général Wanzet-Linguissara, "les opérations de demain se décident aujourd'hui, aussi, aucune personne craignant d'être persécutée ne doit être renvoyée dans un pays où sa sécurité ou sa vie serait en danger".
Ses vœux ardents consistent à doter les réfugiés de titres de voyage conventionnels biométriques, à offrir des semences et des outils aratoires aux agriculteurs, à les soigner et établir des actes de naissance pour les enfants devant systématiquement être inscrits dans un établissement scolaire.
Le Représentant du HCR, M. Buti Kalé, lui, est revenu sur la problématique du retour des réfugiés centrafricains résidant à Brazzaville, au Congo et l'autonomisation des réfugiés sud-soudanais à Obo et a insisté sur "des solutions durables accompagnées et soutenues".
La Coordinatrice humanitaire en République centrafricaine, Najat Rochdi, a exprimé une reconnaissance vis-à-vis des populations qui accordent l'hospitalité aux personnes sous le mandat du HCR. Elle s'attend également, au cours de cet atelier, à ce que l'espoir perdu soit ramené chez toutes les personnes en situation difficile rencontrées sur le terrain.
A l'ouverture des travaux, le Ministre de la Sécurité publique, Henri Wanzet Linguissara, s'est félicité des attributs des précédents travaux ayant abouti à la mise en service des cartes biométriques sécurisées pour les réfugiés et surtout l'opération de rapatriement des réfugiés soudanais du camp de Pladama Ouaka dans leur pays d'origine, plus précisément à Nyala.
Au-delà de ces avancées, d'autres problèmes sont survenus, notamment les présences résiduelles de réfugiés à Mboki et Obo (Haut-Mbomou), Sam Ouandja (Haute Kotto), et Molangué (Lobaye), ainsi que l'afflux de réfugiés sud-soudanais à Obo et tchadiens à Ndélé.
Pour le général Wanzet-Linguissara, "les opérations de demain se décident aujourd'hui, aussi, aucune personne craignant d'être persécutée ne doit être renvoyée dans un pays où sa sécurité ou sa vie serait en danger".
Ses vœux ardents consistent à doter les réfugiés de titres de voyage conventionnels biométriques, à offrir des semences et des outils aratoires aux agriculteurs, à les soigner et établir des actes de naissance pour les enfants devant systématiquement être inscrits dans un établissement scolaire.
Le Représentant du HCR, M. Buti Kalé, lui, est revenu sur la problématique du retour des réfugiés centrafricains résidant à Brazzaville, au Congo et l'autonomisation des réfugiés sud-soudanais à Obo et a insisté sur "des solutions durables accompagnées et soutenues".
La Coordinatrice humanitaire en République centrafricaine, Najat Rochdi, a exprimé une reconnaissance vis-à-vis des populations qui accordent l'hospitalité aux personnes sous le mandat du HCR. Elle s'attend également, au cours de cet atelier, à ce que l'espoir perdu soit ramené chez toutes les personnes en situation difficile rencontrées sur le terrain.