Dans son oraison, le ministre de la santé publique et de la population, le docteur Bernard Lala, a condamné avec fermeté l’acte barbare qui a coûté la vie aux deux éminents docteurs.
« Les meurtriers se font mal à eux-mêmes », a déclaré M. Lala, faisant allusion au vide laissé par les deux médecins dans un pays où l’on compte un médecin pour 20 000 habitants.
Le docteur Kaba Mébri, 43 ans, était chef de la section tuberculose-VIH/sida au ministère de la santé, médecin coordonnateur à l’ONG « Amis d’Afrique » et expert national au projet pilote de la prévention, transmission du VIH/Sida. Il était marié, père de sept (7) enfants.
Quant au docteur Eric Kassa Kélhembo, 47 ans, il était chef du laboratoire de mycobactériologie à l’Institut Pasteur de Bangui et maître assistant associé auprès de la faculté des sciences de la santé à l’Université de Bangui.
Le meurtre des deux médecins a été unanimement condamné par toute la classe politique centrafricaine et par la société civile, notamment les organisations de lutte contre le VIH/Sida.
« Les meurtriers se font mal à eux-mêmes », a déclaré M. Lala, faisant allusion au vide laissé par les deux médecins dans un pays où l’on compte un médecin pour 20 000 habitants.
Le docteur Kaba Mébri, 43 ans, était chef de la section tuberculose-VIH/sida au ministère de la santé, médecin coordonnateur à l’ONG « Amis d’Afrique » et expert national au projet pilote de la prévention, transmission du VIH/Sida. Il était marié, père de sept (7) enfants.
Quant au docteur Eric Kassa Kélhembo, 47 ans, il était chef du laboratoire de mycobactériologie à l’Institut Pasteur de Bangui et maître assistant associé auprès de la faculté des sciences de la santé à l’Université de Bangui.
Le meurtre des deux médecins a été unanimement condamné par toute la classe politique centrafricaine et par la société civile, notamment les organisations de lutte contre le VIH/Sida.