M. Maurer a justifié sa visite par le fait que la République Centrafricaine (RCA) connaît, depuis, une crise caractérisée par des violences ayant exposé les populations à un besoin humanitaire accru.
Pour attirer l’attention de la communauté humanitaire sur les souffrances des civils, M. Maurer a accepté d’effectuer le voyage de la RCA en compagnie de professeurs d’université, de bailleurs de fonds et autres sommités internationales pour qu’ils touchent du doigt les réalités humanitaires et discuter avec les autorités nationales, dont le président de l’Assemblée nationale.
Timoléon M’baïkoua, 2ème Vice-président de l’Assemblée nationale s’est réjoui de ce qu’une telle visite puisse réellement profiter aux populations des localités sous la domination des groupes armés qui leur imposent les tueries, l’incendie des villages et les mouvements de populations déplacées.
La visite du président du CICR intervient au moment où le gouvernement, les agences de l'ONU et les ONG humanitaires s'emploient à assister en urgence quelque 80 000 personnes arrivées à Paoua (499 km au nord de Bangui) pour échapper aux combats entre des groupes armés opérant autour de la ville proche de la frontière avec le Tchad.
Pour attirer l’attention de la communauté humanitaire sur les souffrances des civils, M. Maurer a accepté d’effectuer le voyage de la RCA en compagnie de professeurs d’université, de bailleurs de fonds et autres sommités internationales pour qu’ils touchent du doigt les réalités humanitaires et discuter avec les autorités nationales, dont le président de l’Assemblée nationale.
Timoléon M’baïkoua, 2ème Vice-président de l’Assemblée nationale s’est réjoui de ce qu’une telle visite puisse réellement profiter aux populations des localités sous la domination des groupes armés qui leur imposent les tueries, l’incendie des villages et les mouvements de populations déplacées.
La visite du président du CICR intervient au moment où le gouvernement, les agences de l'ONU et les ONG humanitaires s'emploient à assister en urgence quelque 80 000 personnes arrivées à Paoua (499 km au nord de Bangui) pour échapper aux combats entre des groupes armés opérant autour de la ville proche de la frontière avec le Tchad.