POLITIQUE
Ces travaux de réhabilitation de l’Ecole Mixte de Ngaragba sont exécutés par la Génie Militaire Centrafricaine sur financement du Chef de l’Etat de transition. Il s’agit de la construction de la clôture de l’établissement, la réfection de trois salles de classe, du bureau administratif, des latrines et l’installation d’un point d’eau, la fourniture des tables bancs et les mobiliers du bureau.
Pour le Chef de l’Etat de transition, Catherine Samba-Panza, " l’enfant de Centrafrique ne doit pas être dans la rue, ni dans les groupes armés ou encore dans les organisations criminelles. Mais, sa place est à l’Ecole, c’est le seul endroit où le pays peut l’accompagner, l’encadrer et l’éduquer, et où il peut au mieux construire sa vie, son avenir et celui de sa nation ».
«Nous devons faire la promotion d’une Ecole centrafricaine moderne qui cherche en permanence ce qui se fait de mieux pour offrir à ses élèves. Il s’agira enfin d’Ecole qui garantit et favorise l’acquisition des connaissances, mais qui sert en même temps le creuset de la paix, à la vie commune et à la cohésion sociale par l’enseignement intense du civisme », a –t-elle ajouté.
Le représentant du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), Mohamed Malick Fall a pour sa part indiqué que l’éducation constitue un fondement du savoir et du savoir faire, mais aussi elle contribue au savoir être dans la société centrafricaine.
Il a par ailleurs exhorté le ministère de l’Education à procéder à une affectation équitable des enseignants qualifiés dans toutes les préfectures, sous-préfectures et villages de la Centrafrique, car, les enfants des villes et villages ont les mêmes droits à un apprentissage de qualité.
Pour le Chef de l’Etat de transition, Catherine Samba-Panza, " l’enfant de Centrafrique ne doit pas être dans la rue, ni dans les groupes armés ou encore dans les organisations criminelles. Mais, sa place est à l’Ecole, c’est le seul endroit où le pays peut l’accompagner, l’encadrer et l’éduquer, et où il peut au mieux construire sa vie, son avenir et celui de sa nation ».
«Nous devons faire la promotion d’une Ecole centrafricaine moderne qui cherche en permanence ce qui se fait de mieux pour offrir à ses élèves. Il s’agira enfin d’Ecole qui garantit et favorise l’acquisition des connaissances, mais qui sert en même temps le creuset de la paix, à la vie commune et à la cohésion sociale par l’enseignement intense du civisme », a –t-elle ajouté.
Le représentant du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), Mohamed Malick Fall a pour sa part indiqué que l’éducation constitue un fondement du savoir et du savoir faire, mais aussi elle contribue au savoir être dans la société centrafricaine.
Il a par ailleurs exhorté le ministère de l’Education à procéder à une affectation équitable des enseignants qualifiés dans toutes les préfectures, sous-préfectures et villages de la Centrafrique, car, les enfants des villes et villages ont les mêmes droits à un apprentissage de qualité.
