
Ce chant fétiche, d’après Jean Sylvain Bokpiko, chef du village Boyama 1, est le mot d’ordre de Barthelemy Boganda demandant à tout le monde de se donner au travail, à ne pas baisser les bras car le peuple a déjà pris le pouvoir.
« Barthelemy Boganda, à chaque fois qu’il revenait de France, il rassemblait les 8 villages des Ngbaka de Bobangui pour chanter ce chant fétiche afin de pousser la population à travailler » a-t-il poursuivi.
Les opposants aux idéaux de Barthelemy Boganda étaient soit maudits ou soit mystiquement contractaient des maladies ou devenaient aveugles selon Jean Syvain Bokpiko.
Barthelemy Boganda, dans son village à Bobangui, est un bâtisseur et un grand guerrier prêt à unir le peuple pour une quelconque cause a a-t-il précisé.
Barthelemy Boganda se lavait chaque soir dans un cours d’eau appelé Nimado au niveau de la commune de Pissa 2 pour avoir la bénédiction de ses ancêtres a-t-il expliqué.
« Barthelemy Boganda, à chaque fois qu’il revenait de France, il rassemblait les 8 villages des Ngbaka de Bobangui pour chanter ce chant fétiche afin de pousser la population à travailler » a-t-il poursuivi.
Les opposants aux idéaux de Barthelemy Boganda étaient soit maudits ou soit mystiquement contractaient des maladies ou devenaient aveugles selon Jean Syvain Bokpiko.
Barthelemy Boganda, dans son village à Bobangui, est un bâtisseur et un grand guerrier prêt à unir le peuple pour une quelconque cause a a-t-il précisé.
Barthelemy Boganda se lavait chaque soir dans un cours d’eau appelé Nimado au niveau de la commune de Pissa 2 pour avoir la bénédiction de ses ancêtres a-t-il expliqué.