En échange de leur appel à la reprise du travail, les syndicats ont obtenu du gouvernement la promesse de verser dès la fin février 2 mois de salaires, soit un salaire courant et un arriéré de salaire.
Le gouvernement s'engage également à faire "d’autres gestes similaires dès que la situation de la trésorerie de l’Etat le permettrait" et à mettre en place dans les meilleurs délais un comité technique paritaire qui sera chargé d’approfondir les réflexions sur le sujet afin de définir les moyens et les modalités de prise en charge du déblocage des effets financiers des avancements dans la fonction publique.
« Vous venez là de faire montre de patriotisme car votre décision d’arrêter la grève et de reprendre le travail permettra non seulement à nos enfants de reprendre le chemin de l’école, mais aussi à nos concitoyens malades de se faire soigner dans les différents centres de santé », a déclaré le Premier ministre Faustin Archange Touadéra lors de la clôture des travaux.
« le report de l’inscription du déblocage des salaires dans la loi des finances de 2008 se justifie tout simplement par le fait que le gouvernement veut d’abord s’assurer de ses possibilités réelles avant de mettre en œuvre cette décision sensible », a-t-il déclaré, avant de réitérer la volonté "non équivoque" du gouvernement de continuer à travailler avec les syndicats sur le déblocage des salaires dans le cadre du comité technique paritaire qui sera mis en place.
Le gouvernement s'engage également à faire "d’autres gestes similaires dès que la situation de la trésorerie de l’Etat le permettrait" et à mettre en place dans les meilleurs délais un comité technique paritaire qui sera chargé d’approfondir les réflexions sur le sujet afin de définir les moyens et les modalités de prise en charge du déblocage des effets financiers des avancements dans la fonction publique.
« Vous venez là de faire montre de patriotisme car votre décision d’arrêter la grève et de reprendre le travail permettra non seulement à nos enfants de reprendre le chemin de l’école, mais aussi à nos concitoyens malades de se faire soigner dans les différents centres de santé », a déclaré le Premier ministre Faustin Archange Touadéra lors de la clôture des travaux.
« le report de l’inscription du déblocage des salaires dans la loi des finances de 2008 se justifie tout simplement par le fait que le gouvernement veut d’abord s’assurer de ses possibilités réelles avant de mettre en œuvre cette décision sensible », a-t-il déclaré, avant de réitérer la volonté "non équivoque" du gouvernement de continuer à travailler avec les syndicats sur le déblocage des salaires dans le cadre du comité technique paritaire qui sera mis en place.