Le chargé de mission en matière de communication, Guy Tampon a indiqué que l'objectif de cette mission est d'informer et de sensibiliser les Inspecteurs, les conseillers Pédagogiques , les directeurs des écoles primaires et les autorités administratives ainsi que la population de la ville de Bozoum afin que ceux-ci contribuent à la mise en œuvre effective du Projet "Education à la Citoyenneté" dans les établissement primaires de la préfecture de l'Ouham-Pendé.
"Nous pouvons commencer à dresser le citoyen de demain à partir de l'école", a déclaré le chef de secteur scolaire, représentant l'Inspecteur d'académie du Nord avec juridiction sur l'Ouham, l'Ouham-Pendé basé à Bossangoa, Massiningalé Godefroy Maxim.
Pour lui, " la paix sera durable à partir de la réintroduction du module" l'Education à la Citoyenneté" dans les programmes des écoles primaires".
Le Directeur l'école Mixte du Plateau de Bozoum, Banda Jeanot Junior n’a estimé que l’abandon de l’enseignement de cette discipline dans les écoles à entrainer l'incivisme, le non respect des Institutions de la République par les jeunes d'aujourd'hui.
Pour y remédier, a-t-il précisé, il va falloir ramener dans le système éducatif l'enseignement de ce module afin de redonner aux enfants les valeurs citoyennes et les valeurs de la personnalité.
Il a suggéré que les parents doivent aussi prendre leurs responsabilités, car, a-t-il poursuivi "l'éducation de base commence dans la famille.
"Ce sont les valeurs culturelles qui font que l'enfant va devenir un bon citoyen de demain', a-t-il conclu.
Le prélat de la Congrégation Car mélique de la Paroisse Saint Michel de Bozoum, Mesmin Martinus Dingbedi , a souligné que" c'est une urgence et une nécessité de réintroduire cette discipline dans le programme de l'enseignement pour que les Centrafricains et Centrafricaines prennent conscience sur cette question de la Citoyenneté".
Selon lui, l'éducation à la Citoyenneté s'avère très importante, parce que les jeunes manquent le sens de la citoyenneté, du civisme.
"Si on réintroduit de nouveau cette discipline, cela va aider les jeunes à se retrouver dans leurs cursus de formation, à se positionner dans la vie sociale afin de relever les défis auxquels nous trouvons", a ajouté.
Le sous-préfet de Bozoum a dit qu'il est fondamental que les enfants, depuis le bas âge connaissent l'instruction civique c'est à dire le droit et le devoir d'un citoyen.
Cependant, dans l'Ouham Pendé, les parents préfèrent envoyer leurs enfants sur les chantiers de recherche de l'Or, que plutôt de les envoyer à l'école.
Le slogan mis en relief dans les communautés de l'Ouham-Pendé est "l'Or brille, l'école est noir", une philosophie qui hypothèque toute une génération de futur citoyen de demain.
"Nous pouvons commencer à dresser le citoyen de demain à partir de l'école", a déclaré le chef de secteur scolaire, représentant l'Inspecteur d'académie du Nord avec juridiction sur l'Ouham, l'Ouham-Pendé basé à Bossangoa, Massiningalé Godefroy Maxim.
Pour lui, " la paix sera durable à partir de la réintroduction du module" l'Education à la Citoyenneté" dans les programmes des écoles primaires".
Le Directeur l'école Mixte du Plateau de Bozoum, Banda Jeanot Junior n’a estimé que l’abandon de l’enseignement de cette discipline dans les écoles à entrainer l'incivisme, le non respect des Institutions de la République par les jeunes d'aujourd'hui.
Pour y remédier, a-t-il précisé, il va falloir ramener dans le système éducatif l'enseignement de ce module afin de redonner aux enfants les valeurs citoyennes et les valeurs de la personnalité.
Il a suggéré que les parents doivent aussi prendre leurs responsabilités, car, a-t-il poursuivi "l'éducation de base commence dans la famille.
"Ce sont les valeurs culturelles qui font que l'enfant va devenir un bon citoyen de demain', a-t-il conclu.
Le prélat de la Congrégation Car mélique de la Paroisse Saint Michel de Bozoum, Mesmin Martinus Dingbedi , a souligné que" c'est une urgence et une nécessité de réintroduire cette discipline dans le programme de l'enseignement pour que les Centrafricains et Centrafricaines prennent conscience sur cette question de la Citoyenneté".
Selon lui, l'éducation à la Citoyenneté s'avère très importante, parce que les jeunes manquent le sens de la citoyenneté, du civisme.
"Si on réintroduit de nouveau cette discipline, cela va aider les jeunes à se retrouver dans leurs cursus de formation, à se positionner dans la vie sociale afin de relever les défis auxquels nous trouvons", a ajouté.
Le sous-préfet de Bozoum a dit qu'il est fondamental que les enfants, depuis le bas âge connaissent l'instruction civique c'est à dire le droit et le devoir d'un citoyen.
Cependant, dans l'Ouham Pendé, les parents préfèrent envoyer leurs enfants sur les chantiers de recherche de l'Or, que plutôt de les envoyer à l'école.
Le slogan mis en relief dans les communautés de l'Ouham-Pendé est "l'Or brille, l'école est noir", une philosophie qui hypothèque toute une génération de futur citoyen de demain.