POLITIQUE
étudiants en mécanique auto
Pendant 8 semaines, des équipes mixtes d’élèves centrafricains et français encadrés par des intervenants ayant démantelé les équipements du lycée Brassens vont installer dans les ateliers et salles de classes de Sambonga 120m3 de matériel, d’une valeur de 180 000 euros, soit 117 millions de franc CFA.
Luminaires, cloisons, ventilateurs, tableaux, câbles, armoires électriques, réseaux informatiques constituent l’essentiel de ce matériel destiné à renforcer les capacités du lycée Sambonga.
Sollicité en novembre 2005 pour une mission bénévole de formation et d’organisation dans le domaine des automatismes industriels, M. Laurent Martin, professeur au lycée Brassens, avait constaté que les entreprises de Centrafrique recouraient à un recrutement en dehors de Bangui et du pays en raison de l’inefficacité de la formation professionnelle fournie par Sambonga, unique lycée technique de la République Centrafricaine accueillant des élèves venant de tous les coins du pays.
D’où cette opération initiée par l’association Projet Bangui du lycée Brassens et approuvé par le gouvernement centrafricain.
Pour Martin Pounouwaka, proviseur du lycée technique, l’élan de solidarité dont va bénéficier le lycée Sambonga doit non pas se réduire aux efforts du seul lycée Georges Brassens, du gouvernement centrafricain et de quelques partenaires, mais s’intensifier.
Il compte également sur l’appui des Centrafricains de la diaspora pour poursuivre la modernisation de son établissement, qui a gardé les mêmes infrastructures pour des effectifs 4 à 5 fois plus importants qu’à sa création.
Fondé en 1947 sous le nom d’école des métiers, le lycée technique Sambonga, du nom du chef de terre qui céda sa propriété pour sa construction, compte aujourd’hui plus de 2 200 élèves pour une capacité d’accueil de 500 élèves et 133 enseignants dont 48 titulaires, 79 vacataires et 6 stagiaires.
Il doit se contenter, pour 2007, d’un budget de fonctionnement de 40 millions F CFA (soit 61 000 euros), n’ayant pas de budget d’investissement en raison des difficultés financières de l’Etat.
C’est donc à une véritable opération de sauvetage que Martin Pounouwaka invite ses compatriotes et les partenaires de son pays pour permettre au lycée technique de Bangui de relever le défi de la modernisation du pays.
Luminaires, cloisons, ventilateurs, tableaux, câbles, armoires électriques, réseaux informatiques constituent l’essentiel de ce matériel destiné à renforcer les capacités du lycée Sambonga.
Sollicité en novembre 2005 pour une mission bénévole de formation et d’organisation dans le domaine des automatismes industriels, M. Laurent Martin, professeur au lycée Brassens, avait constaté que les entreprises de Centrafrique recouraient à un recrutement en dehors de Bangui et du pays en raison de l’inefficacité de la formation professionnelle fournie par Sambonga, unique lycée technique de la République Centrafricaine accueillant des élèves venant de tous les coins du pays.
D’où cette opération initiée par l’association Projet Bangui du lycée Brassens et approuvé par le gouvernement centrafricain.
Pour Martin Pounouwaka, proviseur du lycée technique, l’élan de solidarité dont va bénéficier le lycée Sambonga doit non pas se réduire aux efforts du seul lycée Georges Brassens, du gouvernement centrafricain et de quelques partenaires, mais s’intensifier.
Il compte également sur l’appui des Centrafricains de la diaspora pour poursuivre la modernisation de son établissement, qui a gardé les mêmes infrastructures pour des effectifs 4 à 5 fois plus importants qu’à sa création.
Fondé en 1947 sous le nom d’école des métiers, le lycée technique Sambonga, du nom du chef de terre qui céda sa propriété pour sa construction, compte aujourd’hui plus de 2 200 élèves pour une capacité d’accueil de 500 élèves et 133 enseignants dont 48 titulaires, 79 vacataires et 6 stagiaires.
Il doit se contenter, pour 2007, d’un budget de fonctionnement de 40 millions F CFA (soit 61 000 euros), n’ayant pas de budget d’investissement en raison des difficultés financières de l’Etat.
C’est donc à une véritable opération de sauvetage que Martin Pounouwaka invite ses compatriotes et les partenaires de son pays pour permettre au lycée technique de Bangui de relever le défi de la modernisation du pays.
