Organisée par le Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA), cette cérémonie a regroupé une quarantaine de cadres et de représentants des ONG œuvrant dans le cadre des droits de l’Homme pour la célébration de cette journée instaurée depuis le 10 décembre 1948.
Le ministre Meckassoua a souligné à cette occasion que « le constat est amer en Centrafrique qui est confrontée à d’énormes difficultés rendant aléatoire l’application de ces principes ».
Il a relevé que la question des droits de l’Homme et pauvreté est un sujet d’actualité qui permet de débattre de la précarité qui est encore présente dans le pays.
M. Meckassoua a également déclaré que « la sécurité et la prospérité dépendent du respect des droits de l’Homme et de l’Etat de droit », précisant que tout le long de l’histoire, les différentes communautés ont appris à vivre en paix et dans l’unité.
La conseillère politique Principale au BONUCA, Mme Laura Linares a lu le message du Secrétaire Général des Nations Unies, dans lequel elle a relevé que le problème de développement, de la sécurité et les droits de l’homme sont indissociables.
« Quiconque défend énergiquement les droits de l’Homme sans rien faire pour la sécurité commune, ni pour le développement humain et réciproquement sape à la fois sa crédibilité et la cause défendue », a-t-elle déclaré.
Il faut noter que pour ce 58ème anniversaire des droits de l’Homme, les élèves de l’école SOS de Gbangouma ont présenté une série de sketchs sur le thème ‘‘Droits de l’Homme et pauvreté’ en présence du conseiller en matière des droits de l’Homme à la Présidence de la République, M. Henri Maïdou et certains membres du gouvernement.
Le ministre Meckassoua a souligné à cette occasion que « le constat est amer en Centrafrique qui est confrontée à d’énormes difficultés rendant aléatoire l’application de ces principes ».
Il a relevé que la question des droits de l’Homme et pauvreté est un sujet d’actualité qui permet de débattre de la précarité qui est encore présente dans le pays.
M. Meckassoua a également déclaré que « la sécurité et la prospérité dépendent du respect des droits de l’Homme et de l’Etat de droit », précisant que tout le long de l’histoire, les différentes communautés ont appris à vivre en paix et dans l’unité.
La conseillère politique Principale au BONUCA, Mme Laura Linares a lu le message du Secrétaire Général des Nations Unies, dans lequel elle a relevé que le problème de développement, de la sécurité et les droits de l’homme sont indissociables.
« Quiconque défend énergiquement les droits de l’Homme sans rien faire pour la sécurité commune, ni pour le développement humain et réciproquement sape à la fois sa crédibilité et la cause défendue », a-t-elle déclaré.
Il faut noter que pour ce 58ème anniversaire des droits de l’Homme, les élèves de l’école SOS de Gbangouma ont présenté une série de sketchs sur le thème ‘‘Droits de l’Homme et pauvreté’ en présence du conseiller en matière des droits de l’Homme à la Présidence de la République, M. Henri Maïdou et certains membres du gouvernement.