POLITIQUE
Cette opération qui démarre mercredi prochain, intervient après la suspension précoce de ses activités au début de l’année 2006, suite à la fermeture des frontières entre la RCA et le Soudan, et la décision du HCR d’attendre l’issue du processus électoral en République démocratique du Congo.
M. Geddo a expliqué que le HCR envisage de rapatrier environ 8000 réfugiés soudanais dont la plus part est à MBoki (plus de 1000 au Sud est de Bangui) et 900 congolais d’ici juin 2007. Selon lui, ce rapatriement volontaire provient du fait que « les communautés de réfugiés apprécient beaucoup l’hospitalité qu’ils ont vécue en Centrafrique, mais que maintenant avec l’amélioration graduelle des circonstances dans leurs pays d’origine, ils veulent rentrer ». Ceux qui veulent rentrer chez eux, a-t-il dit, « s’engagent effectivement à aider à la reconstruction de leurs pays d’origine ».
Pour des raisons de sécurité, a déclaré M. Geddo, « le rapatriement des Soudanais se fera par la voie aérienne », tandis que celui des congolais va s’effectuer par la voie fluviale. En ce qui concerne les Soudanais, il est prévu trois vols par semaine.
Il faut rappeler qu’après la signature d’un accord tripartite entre les gouvernements du Soudan et de la RCA, ainsi que le HCR, en février 2006, plus de 2100 réfugiés soudanais ont été rapatriés en avril. Malheureusement, l’opération a été suspendue suite à la fermeture officielle de la frontière entre la RCA et le Soudan.
La majorité des réfugiés Congolais vivant en Centrafrique souhaitent pour leur part une intégration locale.
Selon les estimations du HCR, 150.000 personnes ont été déplacées à l’intérieur de la République Centrafricaine, notamment dans les préfectures du Nord, le long des frontières avec le Tchad et la région du Darfour, au Soudan. Environ 50 000 réfugiés centrafricains vivent actuellement au Sud du Tchad, majoritairement dans les camps gérés par le HCR, et 20 000 ont fui vers le Cameroun.
M. Geddo a expliqué que le HCR envisage de rapatrier environ 8000 réfugiés soudanais dont la plus part est à MBoki (plus de 1000 au Sud est de Bangui) et 900 congolais d’ici juin 2007. Selon lui, ce rapatriement volontaire provient du fait que « les communautés de réfugiés apprécient beaucoup l’hospitalité qu’ils ont vécue en Centrafrique, mais que maintenant avec l’amélioration graduelle des circonstances dans leurs pays d’origine, ils veulent rentrer ». Ceux qui veulent rentrer chez eux, a-t-il dit, « s’engagent effectivement à aider à la reconstruction de leurs pays d’origine ».
Pour des raisons de sécurité, a déclaré M. Geddo, « le rapatriement des Soudanais se fera par la voie aérienne », tandis que celui des congolais va s’effectuer par la voie fluviale. En ce qui concerne les Soudanais, il est prévu trois vols par semaine.
Il faut rappeler qu’après la signature d’un accord tripartite entre les gouvernements du Soudan et de la RCA, ainsi que le HCR, en février 2006, plus de 2100 réfugiés soudanais ont été rapatriés en avril. Malheureusement, l’opération a été suspendue suite à la fermeture officielle de la frontière entre la RCA et le Soudan.
La majorité des réfugiés Congolais vivant en Centrafrique souhaitent pour leur part une intégration locale.
Selon les estimations du HCR, 150.000 personnes ont été déplacées à l’intérieur de la République Centrafricaine, notamment dans les préfectures du Nord, le long des frontières avec le Tchad et la région du Darfour, au Soudan. Environ 50 000 réfugiés centrafricains vivent actuellement au Sud du Tchad, majoritairement dans les camps gérés par le HCR, et 20 000 ont fui vers le Cameroun.
