La première revue sectorielle conjointe du secteur de l’éducation vise à évaluer les performances de la première phase de la Stratégie Nationale du Secteur de l’Education, mise en œuvre de 2009 à ce jour, corriger les insuffisances afin de faire des propositions rassurantes pour la deuxième phase, prévue de 2013 à 2016.
Conformément au pilier II du Document de Stratégie de la Réduction de la Pauvreté (DSRP) et le point II des objectifs du millénaire pour le Développement (OMD), prévus pour fin 2015, la République Centrafricaine a élaboré une Stratégie Nationale du Secteur de l’Education dont la mise en œuvre est étalée sur trois phases.
La première phase de cette stratégie couvre la période de 2008 à 2012, la seconde phase ira de 2013 à 2016 tandis que la troisième phase est prévue pour 2017 à 2020.
L’objectif du projet est d’améliorer l’accès à un enseignement primaire de meilleure qualité, tout en créant les conditions favorables à sa réalisation. Il s’agit, en d’autres termes, d’augmenter les salles de classes et d’offrir aux écoliers les matériels didactiques. La formation des enseignants est également prise en compte dans le projet.
Les partenaires qui se sont fortement impliqués dans ce projet sont, entre autres, l’Agence Française de Développement (AFD), le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), le Fonds de Nations Unies pour la Science, l’Education et la Culture (UNESCO), le Programme Alimentaire Mondiale (PAM), la Banque Africaine de Développement (BAD), les Partenaires Mondiaux pour le Développement (PME) ainsi que la Banque Mondiale (BM), choisie comme étant le superviseur de l’activité.
Au départ de ce projet, quelque 17 milliards ont été injectés par les partenaires de l’Education nationale précédemment cités et ont permis la construction des salles de classe dans huit préfectures sur seize ainsi que la formation des enseignants. Il ne reste plus que la mise en œuvre de la seconde phase du projet, auquel l’on s’attend au concours des partenaires traditionnels.
Comme l’a reconnu M. Benoit Sossou, Représentant du Fonds de Nations Unies pour la Science, l’Education et la Culture, la seconde phase du projet ne pourra aboutir que grâce à la « synergie entre les nationaux et les partenaires mondiaux de l’Education ».
Conformément au pilier II du Document de Stratégie de la Réduction de la Pauvreté (DSRP) et le point II des objectifs du millénaire pour le Développement (OMD), prévus pour fin 2015, la République Centrafricaine a élaboré une Stratégie Nationale du Secteur de l’Education dont la mise en œuvre est étalée sur trois phases.
La première phase de cette stratégie couvre la période de 2008 à 2012, la seconde phase ira de 2013 à 2016 tandis que la troisième phase est prévue pour 2017 à 2020.
L’objectif du projet est d’améliorer l’accès à un enseignement primaire de meilleure qualité, tout en créant les conditions favorables à sa réalisation. Il s’agit, en d’autres termes, d’augmenter les salles de classes et d’offrir aux écoliers les matériels didactiques. La formation des enseignants est également prise en compte dans le projet.
Les partenaires qui se sont fortement impliqués dans ce projet sont, entre autres, l’Agence Française de Développement (AFD), le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), le Fonds de Nations Unies pour la Science, l’Education et la Culture (UNESCO), le Programme Alimentaire Mondiale (PAM), la Banque Africaine de Développement (BAD), les Partenaires Mondiaux pour le Développement (PME) ainsi que la Banque Mondiale (BM), choisie comme étant le superviseur de l’activité.
Au départ de ce projet, quelque 17 milliards ont été injectés par les partenaires de l’Education nationale précédemment cités et ont permis la construction des salles de classe dans huit préfectures sur seize ainsi que la formation des enseignants. Il ne reste plus que la mise en œuvre de la seconde phase du projet, auquel l’on s’attend au concours des partenaires traditionnels.
Comme l’a reconnu M. Benoit Sossou, Représentant du Fonds de Nations Unies pour la Science, l’Education et la Culture, la seconde phase du projet ne pourra aboutir que grâce à la « synergie entre les nationaux et les partenaires mondiaux de l’Education ».