« Nous travaillons avec le Syndicat des enseignants du supérieur bien qu’il est dans l’illégalité sur le plan juridique », a relevé le Professeur Bobossi, demandant à ladite formation syndicale de « hâter les procédures de légitimation de son existence ».
Il a en outre présenté les initiatives qui ont vu le jour à l’Université depuis sa nomination pour une véritable émancipation de cette institution, avant de dénoncer entre autres « l’allongement de l’année qui est le plus souvent le fait des contingences des actions syndicales dont on ne saurait ni ne pourrait expliquer le fondement ».
Il a cité notamment les efforts pour le maintien du dialogue entre les différents acteurs sociaux à savoir les étudiants, les enseignants, le personnel d’appui pédagogique et administratif, « en bonne intelligence et sans esprit de sectarisme », ainsi que le retour au déroulement normal des années académiques, des évaluations et des soutenances, jadis régulièrement perturbées par des grève.
« Depuis notre prise de fonctions en tant que Recteur, nous avons fait de la gouvernance universitaire notre bataille. Nous nous sommes efforcé de maintenir un nécessaire esprit d’ouverture sur les questions de gestion académique, matérielle et humaine et de maintenir un partenariat avec tous les acteurs sociaux impliqués dans la gestion des biens et des services », a-t-il déclaré.
« Notre ambition est faire de cette institution un véritable laboratoire de connaissances auprès duquel tous les hommes de bonne volonté désireux de s’informer viendront puiser aux sources de ce savoir, afin que cessent les rumeurs et les désinformations qui ne peuvent que conduire au désordre et à l’anarchie », a expliqué le Professeur Bobossi.
Il convient de rappeler que lors de la rentrée syndicale 2008-2009, le SYNAES avait accusé le Recteur de mal gouvernance, le qualifiant de dictateur. C’est en réponse à cette déclaration que le Professeur a convoqué lundi une conférence de presse qui lui a permis de donner sa version des faits.
Il a en outre présenté les initiatives qui ont vu le jour à l’Université depuis sa nomination pour une véritable émancipation de cette institution, avant de dénoncer entre autres « l’allongement de l’année qui est le plus souvent le fait des contingences des actions syndicales dont on ne saurait ni ne pourrait expliquer le fondement ».
Il a cité notamment les efforts pour le maintien du dialogue entre les différents acteurs sociaux à savoir les étudiants, les enseignants, le personnel d’appui pédagogique et administratif, « en bonne intelligence et sans esprit de sectarisme », ainsi que le retour au déroulement normal des années académiques, des évaluations et des soutenances, jadis régulièrement perturbées par des grève.
« Depuis notre prise de fonctions en tant que Recteur, nous avons fait de la gouvernance universitaire notre bataille. Nous nous sommes efforcé de maintenir un nécessaire esprit d’ouverture sur les questions de gestion académique, matérielle et humaine et de maintenir un partenariat avec tous les acteurs sociaux impliqués dans la gestion des biens et des services », a-t-il déclaré.
« Notre ambition est faire de cette institution un véritable laboratoire de connaissances auprès duquel tous les hommes de bonne volonté désireux de s’informer viendront puiser aux sources de ce savoir, afin que cessent les rumeurs et les désinformations qui ne peuvent que conduire au désordre et à l’anarchie », a expliqué le Professeur Bobossi.
Il convient de rappeler que lors de la rentrée syndicale 2008-2009, le SYNAES avait accusé le Recteur de mal gouvernance, le qualifiant de dictateur. C’est en réponse à cette déclaration que le Professeur a convoqué lundi une conférence de presse qui lui a permis de donner sa version des faits.