Pour garantir la paix, l’Afrique doit trouver les moyens d’endiguer la prolifération des armes légères
C’est ce qu’a annoncé M. Fabrice Boussalem, conseiller au Pnud, vendredi 29 septembre 2006 au cours d’un déjeuner de presse, auquel a également pris part M. Etienne M’peco, coordinateur adjoint de la Commission nationale contre la prolifération des armes légères et de petit calibre, pour le désarmement et la réinsertion (Cnpdr), organisme récemment mis en place pour coordonner toutes les actions de lutte contre les armes légères.
Ces journées nationales devraient regrouper quelque 200 participants issus des institutions gouvernementales, de la société civile et des organisations internationales, qui partageront leurs informations sur les perspectives de partenariat avec l’Union européenne et le document stratégique national en matière de lutte contre les armes légères, entre autres.
Pour les initiateurs, il s’agit, en somme, d’une répétition générale pour une gigantesque campagne de sensibilisation d’environ 5 ans impliquant l’ensemble de la population.
Le coup d’envoi de cette campagne sera donné le 7 octobre prochain, avec l’ouverture d’un concours de création artistique et littéraire auquel toutes les couches de la population sont appelées à participer.
En échange de prix allant des téléphones portables aux voyages, en passant par les vélos et les motos, élèves et étudiants, parlementaires, professionnels des médias, enfants non scolarisés, etc. sont donc conviés à rivaliser de créativité dans la réalisation de dessins, poèmes, peinture, articles de presse et autres slogans ou logos destinés à servir de support lors de la campagne de sensibilisation.
L’organisation des journées nationales intervient alors que touche à sa fin le Projet de réinsertion des ex-combattants et d’appui aux communautés (Prac), qui visait à démobiliser 7565 miliciens et soldats ayant pris part aux différents conflits armés qui ont secoué le pays ces dernières années.
D’un coût global de 12 millions de dollars, le Prac, qui a démarré ses activités en décembre 2004 et prévoit de les achever en février 2007, a clos la dernière phase de démobilisation ce 30 septembre 2006.
D’autres programmes devraient toutefois être mis en œuvre afin de poursuivre les opérations d’appui aux communautés, de réduction des armes légères au sein de la population civile et de moralisation de l’utilisation des armes par les militaires.
Au moment du démarrage de la dernière phase de démobilisation ouverte par le Prac le 18 septembre dernier, seulement 400 armes, 1419 grenades, 567 obus, 6 mines et 8 roquettes, ont été ramassés.
Avec la création de la Cnpdr, d’autres programmes devraient être mis en œuvre afin de poursuivre les opérations d’appui aux communautés, de ramassage des armes légères au sein de la population civile et de moralisation de l’utilisation des armes par les militaires.
Ces journées nationales devraient regrouper quelque 200 participants issus des institutions gouvernementales, de la société civile et des organisations internationales, qui partageront leurs informations sur les perspectives de partenariat avec l’Union européenne et le document stratégique national en matière de lutte contre les armes légères, entre autres.
Pour les initiateurs, il s’agit, en somme, d’une répétition générale pour une gigantesque campagne de sensibilisation d’environ 5 ans impliquant l’ensemble de la population.
Le coup d’envoi de cette campagne sera donné le 7 octobre prochain, avec l’ouverture d’un concours de création artistique et littéraire auquel toutes les couches de la population sont appelées à participer.
En échange de prix allant des téléphones portables aux voyages, en passant par les vélos et les motos, élèves et étudiants, parlementaires, professionnels des médias, enfants non scolarisés, etc. sont donc conviés à rivaliser de créativité dans la réalisation de dessins, poèmes, peinture, articles de presse et autres slogans ou logos destinés à servir de support lors de la campagne de sensibilisation.
L’organisation des journées nationales intervient alors que touche à sa fin le Projet de réinsertion des ex-combattants et d’appui aux communautés (Prac), qui visait à démobiliser 7565 miliciens et soldats ayant pris part aux différents conflits armés qui ont secoué le pays ces dernières années.
D’un coût global de 12 millions de dollars, le Prac, qui a démarré ses activités en décembre 2004 et prévoit de les achever en février 2007, a clos la dernière phase de démobilisation ce 30 septembre 2006.
D’autres programmes devraient toutefois être mis en œuvre afin de poursuivre les opérations d’appui aux communautés, de réduction des armes légères au sein de la population civile et de moralisation de l’utilisation des armes par les militaires.
Au moment du démarrage de la dernière phase de démobilisation ouverte par le Prac le 18 septembre dernier, seulement 400 armes, 1419 grenades, 567 obus, 6 mines et 8 roquettes, ont été ramassés.
Avec la création de la Cnpdr, d’autres programmes devraient être mis en œuvre afin de poursuivre les opérations d’appui aux communautés, de ramassage des armes légères au sein de la population civile et de moralisation de l’utilisation des armes par les militaires.