POLITIQUE
Ce projet de l’élargissement de la ville de Bangui est une initiative du chef de l’Etat Faustin Archange Touadéra visant à urbaniser et à développer la capitale centrafricaine pour répondre aux défis démographiques, économiques et sociaux.
Eric Sorongopé Zoumandji a expliqué aux conseillers que l’objectif de ce projet est de faire de Bangui une capitale moderne et inclusive.
« Réorganiser l’urbanisation en modernisant les infrastructures et en développant des nouveaux pôles urbains, améliorer les services publics qui gèrent l’eau, l’électricité, la santé, l’éducation et le transport, renforcer l’économie urbaine en développant des zones industrielles, commerciales et touristiques, assurer une gestion durable de l’environnement par des politiques adaptées des gestions des déchets et des préservations des espaces verts, et développer les infrastructures de transport moderne pour désengorger le centre-ville et fluidifier la circulation sont des objectifs spécifiques visés dans ce projet » a-t-il martelé.
Selon le gouverneur de la Région n°7, le résultat des statistiques démographiques ont démontré un accroissement de la population banguissoise de 300 milles habitants en 1980 à plus d’un million en 2024.
Il a estimé que la population de Bangui pourrait atteindre 2 à 3 millions d’habitants en 2050, et cela nécessite un plan d’urbanisation structurée avec des extensions planifiées de la ville et des infrastructures adaptées à elle pour répondre aux besoins en transport, énergie et logement.
Le gouverneur a ajouté que ce grand projet est une opportunité historique pour transformer la capitale centrafricaine en une métropole moderne durable et prospère.
La mise en place d’une approche intégrée et multisectorielle permettra d’assurer un développement harmonieux et inclusif répondant aux aspirations des générations actuelles a-t-il poursuivi.
Il dit avoir mis en place une politique du développement durable pour gérer les ressources naturelles et limiter l’installation anarchique en milieu urbain ce qui offre des conditions de vie digne à une population en pleine croissance.
D’après lui, il y a aussi des perspectives et des axes stratégiques pour la réalisation de ce projet.
L’aménagement du territoire et des infrastructures, la modernisation des services publics, le développement économique et de l’emploi, la création d’une ceinture verte au tour de Bangui, et la gouvernance sont entre autres des pistes à suivre par ce projet a-t-il confirmé.
Le gouvernement envisage élaborer un nouveau schéma directeur en vue de la réalisation de ce projet après l’échec de celui de 2012 suite aux crises militaro politiques.
Il est à noter que le dernier schéma directeur de la ville de Bangui date de plus de 50 ans,.
La ville de Bangui faut-il rappeler, créée en 1889, fut concentrée le long des axes principaux.
Aujourd’hui, elle est l’une des 20 préfectures du pays avec une superficie de 347 km² regroupant 4 sous-préfectures, notamment les sous-préfectures de Bangui-Rapides, de Bangui-Kaga, de Bangui-Centre et de Bangui-fleuve
La ville s’étendra sur 50 kilomètre, allant du rond pont de pk 0 vers les villes de M’Baïki, de Boali, de Damara et vers la zone de Mboko-Landja.
Eric Sorongopé Zoumandji a expliqué aux conseillers que l’objectif de ce projet est de faire de Bangui une capitale moderne et inclusive.
« Réorganiser l’urbanisation en modernisant les infrastructures et en développant des nouveaux pôles urbains, améliorer les services publics qui gèrent l’eau, l’électricité, la santé, l’éducation et le transport, renforcer l’économie urbaine en développant des zones industrielles, commerciales et touristiques, assurer une gestion durable de l’environnement par des politiques adaptées des gestions des déchets et des préservations des espaces verts, et développer les infrastructures de transport moderne pour désengorger le centre-ville et fluidifier la circulation sont des objectifs spécifiques visés dans ce projet » a-t-il martelé.
Selon le gouverneur de la Région n°7, le résultat des statistiques démographiques ont démontré un accroissement de la population banguissoise de 300 milles habitants en 1980 à plus d’un million en 2024.
Il a estimé que la population de Bangui pourrait atteindre 2 à 3 millions d’habitants en 2050, et cela nécessite un plan d’urbanisation structurée avec des extensions planifiées de la ville et des infrastructures adaptées à elle pour répondre aux besoins en transport, énergie et logement.
Le gouverneur a ajouté que ce grand projet est une opportunité historique pour transformer la capitale centrafricaine en une métropole moderne durable et prospère.
La mise en place d’une approche intégrée et multisectorielle permettra d’assurer un développement harmonieux et inclusif répondant aux aspirations des générations actuelles a-t-il poursuivi.
Il dit avoir mis en place une politique du développement durable pour gérer les ressources naturelles et limiter l’installation anarchique en milieu urbain ce qui offre des conditions de vie digne à une population en pleine croissance.
D’après lui, il y a aussi des perspectives et des axes stratégiques pour la réalisation de ce projet.
L’aménagement du territoire et des infrastructures, la modernisation des services publics, le développement économique et de l’emploi, la création d’une ceinture verte au tour de Bangui, et la gouvernance sont entre autres des pistes à suivre par ce projet a-t-il confirmé.
Le gouvernement envisage élaborer un nouveau schéma directeur en vue de la réalisation de ce projet après l’échec de celui de 2012 suite aux crises militaro politiques.
Il est à noter que le dernier schéma directeur de la ville de Bangui date de plus de 50 ans,.
La ville de Bangui faut-il rappeler, créée en 1889, fut concentrée le long des axes principaux.
Aujourd’hui, elle est l’une des 20 préfectures du pays avec une superficie de 347 km² regroupant 4 sous-préfectures, notamment les sous-préfectures de Bangui-Rapides, de Bangui-Kaga, de Bangui-Centre et de Bangui-fleuve
La ville s’étendra sur 50 kilomètre, allant du rond pont de pk 0 vers les villes de M’Baïki, de Boali, de Damara et vers la zone de Mboko-Landja.
