L’enjeu de la création de l’Institut de formation paramédicale de la Croix Rouge Centrafricaine et de la formation des cadres de santé est de disposer d’un personnel soignant apte à gérer des services de soins infirmiers et obstétricaux et à remplir des fonctions administratives et pédagogiques idoines concernant le management, les programmes de santé et l’encadrement des étudiants.
Il est à noter que cette formation, copiée sur le modèle de la Croix rouge française, est de nature à favoriser le rayonnement des soins infirmiers découlant des principes fondamentaux du serment Florence Nightingale, une infirmière ayant consacré sa vie à l’amélioration de la profession et dont un prix a été consacré en sa mémoire en 1920.
Partant, les nouveaux techniciens supérieurs en soins infirmiers de la première promotion de l’Institut paramédicale de la Croix Rouge Centrafricaine vont coordonner les activités de soins et dispenser des enseignements aux étudiants en en vue de susciter chez eux la polyvalence.
Le Ministre Sioké Rainaldi a été sensible aux difficultés du nouvel Institut, notamment les contraintes financières, l’insuffisance de ressources humaines, l’obsolescence des équipements informatiques. A cet effet, il a sollicité l’appui des partenaires au développement et du gouvernement centrafricain en vue de pérenniser la formation continue des cadres de santé.
L’Institut de formation paramédicale de la Croix rouge centrafricaine est le fruit d’une coopération tripartite regroupant à la fois le gouvernement centrafricain, la Croix rouge centrafricaine et la Croix rouge française dans le cadre du projet « Amélioration de l’appareil de formation en soins infirmiers ». Il est financé par l’Agence Française de développement.
Il est à noter que cette formation, copiée sur le modèle de la Croix rouge française, est de nature à favoriser le rayonnement des soins infirmiers découlant des principes fondamentaux du serment Florence Nightingale, une infirmière ayant consacré sa vie à l’amélioration de la profession et dont un prix a été consacré en sa mémoire en 1920.
Partant, les nouveaux techniciens supérieurs en soins infirmiers de la première promotion de l’Institut paramédicale de la Croix Rouge Centrafricaine vont coordonner les activités de soins et dispenser des enseignements aux étudiants en en vue de susciter chez eux la polyvalence.
Le Ministre Sioké Rainaldi a été sensible aux difficultés du nouvel Institut, notamment les contraintes financières, l’insuffisance de ressources humaines, l’obsolescence des équipements informatiques. A cet effet, il a sollicité l’appui des partenaires au développement et du gouvernement centrafricain en vue de pérenniser la formation continue des cadres de santé.
L’Institut de formation paramédicale de la Croix rouge centrafricaine est le fruit d’une coopération tripartite regroupant à la fois le gouvernement centrafricain, la Croix rouge centrafricaine et la Croix rouge française dans le cadre du projet « Amélioration de l’appareil de formation en soins infirmiers ». Il est financé par l’Agence Française de développement.