L’objectif de ce café de presse est de dresser le bilan des activités accomplies par les MSF à travers le projet prise en charge des patients du VIH/SIDA au niveau de l’Hôpital Communautaire de Bangui.
Dr. Zakari Moluh a indiqué que ledit projet vise à garantir un accès à des soins gratuits et de qualité aux patients atteints du SIDA et de réduire la mortalité des patients vivant avec la maladie.
Le médecin a expliqué que seules les personnes présentant des complications liées au VIH et qui sont munies d’un document de référence y sont prises en charge au sein de cette unité de l’Hôpital Communautaire.
Dr. Zakari a poursuivi que si une autre maladie survient lors du traitement ou le patient présente des signes de gravité, il doit d’abord se rendre au centre ambulatoire de prise en charge habituel avant d’être référé à l’Hôpital Communautaire.
Il a par ailleurs exhorté toutes les personnes séropositives à se rendre dans les structures de prise en charge, afin de continuer leurs traitements antirétroviraux gratuits dans les structures ambulatoires.
Le médecin a souligné qu’il y a beaucoup de challenges à relever d’une manière globale au niveau du pays, et cela demande une implication du gouvernement, des partenaires technique et financier, et de tous les Centrafricains pour accompagner les personnes vivant avec le VIH/SIDA.
L’un des patients traité par ledit projet, dans son témoignage a demandé aux MSF de décentraliser les structures de prise en charge des malades du VIH/SIDA sur toute l’étendue du territoire centrafricain, afin de prendre en compte les patients qui sont dans un état avancé de la maladie du VIH.
Il convient de signaler que le projet de prise en charge des patients du VIH/SIDA à l’Hôpital Communautaire de Bangui, a démarré ses activités en octobre 2019, a enregistré plus 1800 patients pris en charge dans les structures avec 17 % de décès.
Dr. Zakari Moluh a indiqué que ledit projet vise à garantir un accès à des soins gratuits et de qualité aux patients atteints du SIDA et de réduire la mortalité des patients vivant avec la maladie.
Le médecin a expliqué que seules les personnes présentant des complications liées au VIH et qui sont munies d’un document de référence y sont prises en charge au sein de cette unité de l’Hôpital Communautaire.
Dr. Zakari a poursuivi que si une autre maladie survient lors du traitement ou le patient présente des signes de gravité, il doit d’abord se rendre au centre ambulatoire de prise en charge habituel avant d’être référé à l’Hôpital Communautaire.
Il a par ailleurs exhorté toutes les personnes séropositives à se rendre dans les structures de prise en charge, afin de continuer leurs traitements antirétroviraux gratuits dans les structures ambulatoires.
Le médecin a souligné qu’il y a beaucoup de challenges à relever d’une manière globale au niveau du pays, et cela demande une implication du gouvernement, des partenaires technique et financier, et de tous les Centrafricains pour accompagner les personnes vivant avec le VIH/SIDA.
L’un des patients traité par ledit projet, dans son témoignage a demandé aux MSF de décentraliser les structures de prise en charge des malades du VIH/SIDA sur toute l’étendue du territoire centrafricain, afin de prendre en compte les patients qui sont dans un état avancé de la maladie du VIH.
Il convient de signaler que le projet de prise en charge des patients du VIH/SIDA à l’Hôpital Communautaire de Bangui, a démarré ses activités en octobre 2019, a enregistré plus 1800 patients pris en charge dans les structures avec 17 % de décès.