Cet accord tripartite, tout comme celui signé samedi 29 juin 2019 à Yaoundé, au Cameroun, se présente comme le cadre juridique de l'opération volontaire de rapatriement des Centrafricains réfugiés en RDC à la suite de la grande crise politico-militaire que leur pays a connue à partir de décembre 2012 et dont les stigmates sont encore présents dans de nombreuses localités.
De l'avis de la ministre Mbaïkoua, l'accord tripartite pour lequel les parties se sont entièrement engagées répond à des standards légaux internationalement reconnus en matière de rapatriement volontaire des réfugiés.
Selon M. Buti Kalé, représentant résident du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) en République centrafricaine et témoin de la signature de l'accord, le document paraphé fixe les modalités pratiques du retour volontaire des réfugiés centrafricains chez eux.
Peu après l'arrivée au pouvoir du président centrafricain Faustin-Archange Touadéra et surtout après la signature d'un accord politique de paix et de réconciliation avec 14 groupes armés le 6 février dernier, une réelle accalmie est observée en République centrafricaine, suscitant chez les réfugiés un engouement pour le retour chez eux.
Au pic de la crise politico-militaire déclenchée par la coalition de groupes rebelles dénommée "Séléka" en décembre 2012, quelque 600.000 Centrafricains ont trouvé refuge dans les pays limitrophes, dont la République Démocratique du Congo.
Le rapatriement des réfugiés centrafricains devrait s'achever au mois de septembre 2019 afin de permettre aux enfants de prendre le train de la rentrée scolaire d'octobre 2019.
De l'avis de la ministre Mbaïkoua, l'accord tripartite pour lequel les parties se sont entièrement engagées répond à des standards légaux internationalement reconnus en matière de rapatriement volontaire des réfugiés.
Selon M. Buti Kalé, représentant résident du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) en République centrafricaine et témoin de la signature de l'accord, le document paraphé fixe les modalités pratiques du retour volontaire des réfugiés centrafricains chez eux.
Peu après l'arrivée au pouvoir du président centrafricain Faustin-Archange Touadéra et surtout après la signature d'un accord politique de paix et de réconciliation avec 14 groupes armés le 6 février dernier, une réelle accalmie est observée en République centrafricaine, suscitant chez les réfugiés un engouement pour le retour chez eux.
Au pic de la crise politico-militaire déclenchée par la coalition de groupes rebelles dénommée "Séléka" en décembre 2012, quelque 600.000 Centrafricains ont trouvé refuge dans les pays limitrophes, dont la République Démocratique du Congo.
Le rapatriement des réfugiés centrafricains devrait s'achever au mois de septembre 2019 afin de permettre aux enfants de prendre le train de la rentrée scolaire d'octobre 2019.