POLITIQUE
Le ministre Guismala Hamza a expliqué que ce sont des éventualités politico-sécuritaires du pays qui ont causé des obstacles à la tenue de cet évènement mondial à la date prévue sur le territoire Centrafricain, telles pour l’édition de 2023 a-t-il expliqué.
« En effet pour des contingences propres à notre pays, la République Centrafricaine n’a pu organiser cette célébration en 2023. Et aussi pour les mêmes causes, la journée mondiale de l’alimentation édition 2024 est organisée en différé ce 14 décembre 2024 dans la ville de Kaga-Bandoro chef-lieu de la Nana-Gribizi. Quand bien même que la journée mondiale de l’alimentation se tient chaque année, l’insécurité alimentaire et la malnutrition ne font que s’aggraver depuis 2014. Cette dégradation s’est accélérée sous les effets socio-économiques de la pandémie de COVID-19, des conflits armés et les changements climatiques », a précisé le ministre.
Dans sa déclaration, le ministre Guismala Hamza est revenu sur le rapport des Nations Unies qui fait état de la situation des personnes affectées plus ou moins par la famine chronique et par l’insécurité alimentaire aigüe dans le monde de 2019 à 2022.
Il a fait le rapprochement de ce constat avec le résultat des analyses effectuées en septembre 2024 par l’IPC sur la situation de l’insécurité alimentaire en République Centrafricaine lesquelles analyses sont déplorables.
« En République Centrafricaine la situation n’est guère reluisante, car les dernières analyses de l’insécurité alimentaire de l’IPC en septembre 2024 relève la proportion suivante : 2/3 de la population analysée sont dans la phase 3, c’est-à-dire en état de crise alimentaire car leurs besoins alimentaires essentiels sont difficilement couverts, 1/3 sont en phase 4 ou en situation d’urgence », a-t-il dit.
Il a mentionné dans ses laïus l’importance de la célébration de cette édition 2024 consacrée à l’alimentation.
’’Le droit aux aliments, au service d’une vie et d’un avenir meilleur’’ est le thème central de cette journée mondiale d’alimentation.
« Ce thème interpelle sur le rôle central des agences des nations unies basées à Rome, telles l’Organisation Mondiale de l’Alimentation(FAO), le Programme Mondial Alimentaire(PAM), Fonds International de Développement Agriccole(FIDA) ainsi que les comités de sécurité alimentaire mondiale dans leur lourde mission de garantir la sécurité alimentaire aux populations chaque jour et partout dans le monde. Toutefois, les gouvernements et les organisations ont la responsabilité éthique et juridique de respecter, de protéger et d’instaurer ce droit» a souligné le ministre Guismala Hamza.
Il a ajouté que la célébration de cette journée en République Centrafricaine s’inscrit dans le cadre de la mise en pratique des efforts continus pour une alimentation adéquate pour la population centrafricaine par des acteurs étatiques et non étatiques.
« Ainsi donc l’importance est accordée par le gouvernement à la célébration de la journée de l’alimentation chaque année, c’est l’occasion renouvelée de son engagement de construire des systèmes agroalimentaires plus efficaces, plus inclusifs, plus résilients et plus durables respectueux de demande de chacun en matière d’aliments variés et sains. », a-t-il renchéri.
Le ministre Guismala Hamza a indiqué que la journée mondiale de l’alimentation est un appel à l’action, il appelle donc les acteurs de différentes couches sociales à travers cette célébration d’avoir un esprit de créativités.
« Chacun de nous a un rôle à jouer pour lutter contre les inégalités et la pauvreté. Faire des choix alimentaires sains pour accroitre leur disponibilité, réduire le gaspillage alimentaire et protéger l’environnement. », a conseillé le ministre.
Selon le ministre, les manifestations sportives comme la marche contre la faim, le marathon, les jeux concours ou des concerts édifiants en passant par des expositions artistiques et les spectacles animés sont au rendez-vous, car ceux-ci peuvent inspirés un changement significatif au cours de cette édition 2024.
« En effet pour des contingences propres à notre pays, la République Centrafricaine n’a pu organiser cette célébration en 2023. Et aussi pour les mêmes causes, la journée mondiale de l’alimentation édition 2024 est organisée en différé ce 14 décembre 2024 dans la ville de Kaga-Bandoro chef-lieu de la Nana-Gribizi. Quand bien même que la journée mondiale de l’alimentation se tient chaque année, l’insécurité alimentaire et la malnutrition ne font que s’aggraver depuis 2014. Cette dégradation s’est accélérée sous les effets socio-économiques de la pandémie de COVID-19, des conflits armés et les changements climatiques », a précisé le ministre.
Dans sa déclaration, le ministre Guismala Hamza est revenu sur le rapport des Nations Unies qui fait état de la situation des personnes affectées plus ou moins par la famine chronique et par l’insécurité alimentaire aigüe dans le monde de 2019 à 2022.
Il a fait le rapprochement de ce constat avec le résultat des analyses effectuées en septembre 2024 par l’IPC sur la situation de l’insécurité alimentaire en République Centrafricaine lesquelles analyses sont déplorables.
« En République Centrafricaine la situation n’est guère reluisante, car les dernières analyses de l’insécurité alimentaire de l’IPC en septembre 2024 relève la proportion suivante : 2/3 de la population analysée sont dans la phase 3, c’est-à-dire en état de crise alimentaire car leurs besoins alimentaires essentiels sont difficilement couverts, 1/3 sont en phase 4 ou en situation d’urgence », a-t-il dit.
Il a mentionné dans ses laïus l’importance de la célébration de cette édition 2024 consacrée à l’alimentation.
’’Le droit aux aliments, au service d’une vie et d’un avenir meilleur’’ est le thème central de cette journée mondiale d’alimentation.
« Ce thème interpelle sur le rôle central des agences des nations unies basées à Rome, telles l’Organisation Mondiale de l’Alimentation(FAO), le Programme Mondial Alimentaire(PAM), Fonds International de Développement Agriccole(FIDA) ainsi que les comités de sécurité alimentaire mondiale dans leur lourde mission de garantir la sécurité alimentaire aux populations chaque jour et partout dans le monde. Toutefois, les gouvernements et les organisations ont la responsabilité éthique et juridique de respecter, de protéger et d’instaurer ce droit» a souligné le ministre Guismala Hamza.
Il a ajouté que la célébration de cette journée en République Centrafricaine s’inscrit dans le cadre de la mise en pratique des efforts continus pour une alimentation adéquate pour la population centrafricaine par des acteurs étatiques et non étatiques.
« Ainsi donc l’importance est accordée par le gouvernement à la célébration de la journée de l’alimentation chaque année, c’est l’occasion renouvelée de son engagement de construire des systèmes agroalimentaires plus efficaces, plus inclusifs, plus résilients et plus durables respectueux de demande de chacun en matière d’aliments variés et sains. », a-t-il renchéri.
Le ministre Guismala Hamza a indiqué que la journée mondiale de l’alimentation est un appel à l’action, il appelle donc les acteurs de différentes couches sociales à travers cette célébration d’avoir un esprit de créativités.
« Chacun de nous a un rôle à jouer pour lutter contre les inégalités et la pauvreté. Faire des choix alimentaires sains pour accroitre leur disponibilité, réduire le gaspillage alimentaire et protéger l’environnement. », a conseillé le ministre.
Selon le ministre, les manifestations sportives comme la marche contre la faim, le marathon, les jeux concours ou des concerts édifiants en passant par des expositions artistiques et les spectacles animés sont au rendez-vous, car ceux-ci peuvent inspirés un changement significatif au cours de cette édition 2024.
