« L’adoption par le Parlement du règlement de procédure et de preuve est un pas important vers l’opérationnalisation de la Cour pénale spéciale », ont-t-ils estimé.
« Nous nous tournons maintenant vers le procureur de la Cour pénale pour qu’il enquête sur les crimes commis et vers le tribunal pour que les victimes soient pleinement associés à ses procédures afin que justice puisse être rendue », ont souhaité les 40 organisations.
Pour elles, après l’adoption du règlement de procédure et de preuve, la Cour pénale spéciale est confrontée à d’autres défis, notamment la protection des victimes ainsi que le soutien et la sécurité du personnel judiciaire.
«Mais, ont reconnu ces organisations par la voix de Maître Mathias Morouba, ce vote est un pas vers la fin de l’impunité qui a recouvert des années de conflits sanglants et de violation des droits de l’Homme en République Centrafricaine. »
Il faut rappeler que ces organisations de protection des droits de l’homme ont élaboré un projet qui vise à documenter les violations graves des droits humains et les crimes internationaux, accompagner et soutenir les victimes, mobiliser la communauté internationale et soutenir et renforcer la société civile centrafricaine.
Il convient de noter que préalablement au vote, ces organisations ont écrit aux parlementaires et organisé une conférence de presse pour demander l’adoption du règlement.
« Nous nous tournons maintenant vers le procureur de la Cour pénale pour qu’il enquête sur les crimes commis et vers le tribunal pour que les victimes soient pleinement associés à ses procédures afin que justice puisse être rendue », ont souhaité les 40 organisations.
Pour elles, après l’adoption du règlement de procédure et de preuve, la Cour pénale spéciale est confrontée à d’autres défis, notamment la protection des victimes ainsi que le soutien et la sécurité du personnel judiciaire.
«Mais, ont reconnu ces organisations par la voix de Maître Mathias Morouba, ce vote est un pas vers la fin de l’impunité qui a recouvert des années de conflits sanglants et de violation des droits de l’Homme en République Centrafricaine. »
Il faut rappeler que ces organisations de protection des droits de l’homme ont élaboré un projet qui vise à documenter les violations graves des droits humains et les crimes internationaux, accompagner et soutenir les victimes, mobiliser la communauté internationale et soutenir et renforcer la société civile centrafricaine.
Il convient de noter que préalablement au vote, ces organisations ont écrit aux parlementaires et organisé une conférence de presse pour demander l’adoption du règlement.