La cérémonie d'ouverture de cette session, tenue en marge de la grande commission mixte Congo-République centrafricaine, a enregistré la présence des ministres congolaise des Affaires sociales et de l'action humanitaire, Mme Antoinette Dinga-Dzondo, centrafricaine de l'Action humanitaire et de la Réconciliation nationale, Mme Virginie Mbaïkoua, les représentants du HCR des deux pays, MM. Cyr-Modeste Kouamé (Congo) et Buti Kalé (RCA) ainsi que les ambassadeurs des deux pays.
Le but de cette session est d'examiner les projets de l'accord soumis à l'appréciation des experts des deux pays et censé servir de cadre juridique formel pour les prochaines opérations de rapatriement volontaire.
Point n'est besoin de rappeler qu'à cause de la crise politico-militaire qui a secoué la République centrafricaine, dont le pic se situe au mois de mars 2013, de nombreux Centrafricains craignant pour leur sécurité ont fui dans presque tous les pays limitrophes. Le Congo Brazzaville à lui seul avait accueilli plus de 31.000 réfugiés centrafricains.
Avec le retour à la légalité constitutionnelle et l'accalmie enregistrée peu après la signature à Bangui, le 6 février dernier, de l'Accord de paix négocié à Khartoum au Soudan, de nombreux Centrafricains ont exprimé le besoin ardent de retourner dans leur pays d'origine.
Sans attendre un accord tripartite mais sur la base d'une lettre d'échange suivant une procédure allégée, le HCR a facilité, entre 2017 et 2019, le retour par voie terrestre d'environ 5.000 réfugiés centrafricains résidant dans la région congolaise du Likwala.
La signature vendredi 2 août 2019 d'un accord tripartite devant favoriser le retour volontaire des Centrafricains chez eux est la troisième du genre, après celle du Cameroun le 29 juin dernier et celle du Congo Kinshasa le 5 juillet.
Le but de cette session est d'examiner les projets de l'accord soumis à l'appréciation des experts des deux pays et censé servir de cadre juridique formel pour les prochaines opérations de rapatriement volontaire.
Point n'est besoin de rappeler qu'à cause de la crise politico-militaire qui a secoué la République centrafricaine, dont le pic se situe au mois de mars 2013, de nombreux Centrafricains craignant pour leur sécurité ont fui dans presque tous les pays limitrophes. Le Congo Brazzaville à lui seul avait accueilli plus de 31.000 réfugiés centrafricains.
Avec le retour à la légalité constitutionnelle et l'accalmie enregistrée peu après la signature à Bangui, le 6 février dernier, de l'Accord de paix négocié à Khartoum au Soudan, de nombreux Centrafricains ont exprimé le besoin ardent de retourner dans leur pays d'origine.
Sans attendre un accord tripartite mais sur la base d'une lettre d'échange suivant une procédure allégée, le HCR a facilité, entre 2017 et 2019, le retour par voie terrestre d'environ 5.000 réfugiés centrafricains résidant dans la région congolaise du Likwala.
La signature vendredi 2 août 2019 d'un accord tripartite devant favoriser le retour volontaire des Centrafricains chez eux est la troisième du genre, après celle du Cameroun le 29 juin dernier et celle du Congo Kinshasa le 5 juillet.