POLITIQUE
Centrafrique / société :
En présence des enfants Ouénangaré arrivés de France ainsi que de nombreux parents, confrères et amis, le ministre d’Etat chargé de la Communication, M.Abdou Karim Méckassoua, a remis au défunt réalisateur,au nom du chef de l’Etat François Bozizé, la médaille d’officier dans l’ordre du mérite centrafricain à titre posthume.
Deux collaborateurs inconsolables, Magloire Kolisso, chef du service des relations publique à la presse présidentielle et Jésus Tarcille Bomongo, chef du service des reportages à la télévision centrafricaine, ont fait des témoignages émouvants sur les qualités humaines et le talent du co-réalisateur du « Silence de la forêt », avant l’oraison funèbre prononcée par M. Antony Caillé Laoutou, directeur de la réconciliation nationale au ministère de la Communication.
Didier Ouénangaré, « Didier fut un cinéaste réalisateur qui a fait connaître la République Centrafricaine à travers ses multiples réalisations ».
Formé au Studio-école de la Radio-télévision ivoirienne (Serti), Didier entre comme caméraman à la télévision centrafricaine dès le démarrage de celle-ci en 1974, puis il part pour la France (Rennes et Paris) où il prépare une maîtrise de cinématographie avant d’aller travailler comme cameraman à la station régionale de la chaîne de télévision française France 3.
Après plusieurs années de travail acharné avec à la clé plusieurs documentaires et un court métrage de fiction « pourquoi voter », il co-réalise avec le camerounais Bassek Ba Kobhio « Le silence de la forêt », long métrage tiré du roman de l’écrivain centrafricain Etienne Goyémidé, présenté à la quinzaine des réalisateurs du festival de Cannes, en France, le 18 mai 2003.
Grâce à cette adaptation saluée dans son pays comme le premier long métrage jamais réalisé par un centrafricain, Didier Ouénangaré retrouve le chemin de la télévision centrafricaine, en devenant en mars 2005, directeur de la création cinématographique, poste qu’il occupera jusqu’à sa mort, le 29 septembre dernier.
Mort à 53 ans, il laisse derrière lui cinq (5) orphelins et repose désormais au cimetière de Ndrès, à Bangui.
En présence des enfants Ouénangaré arrivés de France ainsi que de nombreux parents, confrères et amis, le ministre d’Etat chargé de la Communication, M.Abdou Karim Méckassoua, a remis au défunt réalisateur,au nom du chef de l’Etat François Bozizé, la médaille d’officier dans l’ordre du mérite centrafricain à titre posthume.
Deux collaborateurs inconsolables, Magloire Kolisso, chef du service des relations publique à la presse présidentielle et Jésus Tarcille Bomongo, chef du service des reportages à la télévision centrafricaine, ont fait des témoignages émouvants sur les qualités humaines et le talent du co-réalisateur du « Silence de la forêt », avant l’oraison funèbre prononcée par M. Antony Caillé Laoutou, directeur de la réconciliation nationale au ministère de la Communication.
Didier Ouénangaré, « Didier fut un cinéaste réalisateur qui a fait connaître la République Centrafricaine à travers ses multiples réalisations ».
Formé au Studio-école de la Radio-télévision ivoirienne (Serti), Didier entre comme caméraman à la télévision centrafricaine dès le démarrage de celle-ci en 1974, puis il part pour la France (Rennes et Paris) où il prépare une maîtrise de cinématographie avant d’aller travailler comme cameraman à la station régionale de la chaîne de télévision française France 3.
Après plusieurs années de travail acharné avec à la clé plusieurs documentaires et un court métrage de fiction « pourquoi voter », il co-réalise avec le camerounais Bassek Ba Kobhio « Le silence de la forêt », long métrage tiré du roman de l’écrivain centrafricain Etienne Goyémidé, présenté à la quinzaine des réalisateurs du festival de Cannes, en France, le 18 mai 2003.
Grâce à cette adaptation saluée dans son pays comme le premier long métrage jamais réalisé par un centrafricain, Didier Ouénangaré retrouve le chemin de la télévision centrafricaine, en devenant en mars 2005, directeur de la création cinématographique, poste qu’il occupera jusqu’à sa mort, le 29 septembre dernier.
Mort à 53 ans, il laisse derrière lui cinq (5) orphelins et repose désormais au cimetière de Ndrès, à Bangui.
