Le but de cet atelier est de valider ce document de planification en vue de permettre au fonds des Nations-Unies de projeter ses actions vers 2020-2021.
Le Directeur de Cabinet Antoine-Maximilien Mbaga a expliqué que le gouvernement se réjouit de voir le HCR prendre le devant pour élaborer ce plan d’opération permettant à nos compatriotes refugiés dans les pays voisins de retourner chez eux.
Il a salué le partenariat agissant entre le gouvernement et le HCR et a remercié ce partenaire qui a toujours été au côté de la République Centrafricaine dans des moments difficiles de son histoire.
Le Représentant adjoint du HCR, Georges Menezet, a souligné pour sa part que l’année 2018 a été marquée en Centrafrique par la persistance des violences assorties de nouveaux déplacements forcés de populations ainsi que par des mouvements de retour des déplacés internes et de réfugiés centrafricains.
Il a indiqué que malgré la persistance de l’insécurité dans certaines parties du pays, l’accalmie sécuritaire dans d’autres zones, combinée à la volonté manifeste des réfugiés centrafricains de rentrer dans leur pays a permis le retour volontaire facilité de 3.774 réfugiés et plus de 31 000 rapatriés spontanés.
Il a fait savoir que sur la base de l’analyse de la situation politico-sécuritaire et des évaluations menées sur le terrain impliquant différents acteurs ainsi que des réfugiés, déplacés, retournés et rapatriés, le Bureau du HCR-RCA a estimé que l’année prochaine, si cette stabilité se maintenait, il serait en mesure d’engager le rapatriement proprement dit des réfugiés qui désireront de rentrer au bercail.
Selon lui, en attendant 2020, le HCR va continuer d’apporter son soutien au gouvernement centrafricain et à ceux des pays d’asile dans la facilitation du retour des réfugiés centrafricains qui le souhaitent.
Il convient de rappeler que plus d’un million de centrafricains vivent encore en déplacement, dont 640 000 à l’intérieur du pays et plus de 575. 000 dans les pays voisins.
Le Directeur de Cabinet Antoine-Maximilien Mbaga a expliqué que le gouvernement se réjouit de voir le HCR prendre le devant pour élaborer ce plan d’opération permettant à nos compatriotes refugiés dans les pays voisins de retourner chez eux.
Il a salué le partenariat agissant entre le gouvernement et le HCR et a remercié ce partenaire qui a toujours été au côté de la République Centrafricaine dans des moments difficiles de son histoire.
Le Représentant adjoint du HCR, Georges Menezet, a souligné pour sa part que l’année 2018 a été marquée en Centrafrique par la persistance des violences assorties de nouveaux déplacements forcés de populations ainsi que par des mouvements de retour des déplacés internes et de réfugiés centrafricains.
Il a indiqué que malgré la persistance de l’insécurité dans certaines parties du pays, l’accalmie sécuritaire dans d’autres zones, combinée à la volonté manifeste des réfugiés centrafricains de rentrer dans leur pays a permis le retour volontaire facilité de 3.774 réfugiés et plus de 31 000 rapatriés spontanés.
Il a fait savoir que sur la base de l’analyse de la situation politico-sécuritaire et des évaluations menées sur le terrain impliquant différents acteurs ainsi que des réfugiés, déplacés, retournés et rapatriés, le Bureau du HCR-RCA a estimé que l’année prochaine, si cette stabilité se maintenait, il serait en mesure d’engager le rapatriement proprement dit des réfugiés qui désireront de rentrer au bercail.
Selon lui, en attendant 2020, le HCR va continuer d’apporter son soutien au gouvernement centrafricain et à ceux des pays d’asile dans la facilitation du retour des réfugiés centrafricains qui le souhaitent.
Il convient de rappeler que plus d’un million de centrafricains vivent encore en déplacement, dont 640 000 à l’intérieur du pays et plus de 575. 000 dans les pays voisins.