« L’OMS a estimé à près de 1300 millions de nombre de fumeurs dans le monde et 6.600 millions de décès chaque année dans le monde sous l’effet de tabac. Si rien ne fait d’ici 2030, le tabac tuera chaque année 10 millions de personnes, soit 70% dans les pays en voie de développement », a fait remarquer Casimir Manengou, représentant de l’OMS
Il a expliqué qu’au moment où les pays riches s’activent pour prendre des mesures contraignantes contre l’industrie des tabacs, les pays en voie de développement hésitent encore à adopter les politiques efficaces contre la lutte anti-tabac, malgré l’adoption et la ratification de la convention cadre de l’OMS du 27 février 2005 contre le tabac.
« Si le gouvernement ne met pas en place une politique contre le tabagisme, ce fléau sera la plus grande catastrophe », a-t-il dit.
Pour Dr Casimir Manengou, nos Etats ont d’or es et déjà établi la riposte en mobilisant les moyens matériels et financiers aux quelles les compétences humaines pourront mettre en exergue pour juguler le tabagisme.
Selon lui, la propagation de cette épidémie est facilité par un ensemble de facteurs complexes ayant des effets transfrontaliers notamment la libéralisation des échanges commerciaux et les investissements étrangers directs.
« D’autres facteurs comme la commercialisation mondiale, les activités transnationales de publicités, la promotion et le parrainage de mouvement international de cigarette, de contre bande
Ont également contribué à l’explosion du tabagisme », a-t-il ajouté.
Il a expliqué qu’au moment où les pays riches s’activent pour prendre des mesures contraignantes contre l’industrie des tabacs, les pays en voie de développement hésitent encore à adopter les politiques efficaces contre la lutte anti-tabac, malgré l’adoption et la ratification de la convention cadre de l’OMS du 27 février 2005 contre le tabac.
« Si le gouvernement ne met pas en place une politique contre le tabagisme, ce fléau sera la plus grande catastrophe », a-t-il dit.
Pour Dr Casimir Manengou, nos Etats ont d’or es et déjà établi la riposte en mobilisant les moyens matériels et financiers aux quelles les compétences humaines pourront mettre en exergue pour juguler le tabagisme.
Selon lui, la propagation de cette épidémie est facilité par un ensemble de facteurs complexes ayant des effets transfrontaliers notamment la libéralisation des échanges commerciaux et les investissements étrangers directs.
« D’autres facteurs comme la commercialisation mondiale, les activités transnationales de publicités, la promotion et le parrainage de mouvement international de cigarette, de contre bande
Ont également contribué à l’explosion du tabagisme », a-t-il ajouté.