Le Porte-parole Théophile Momokoama a expliqué que plus de 80 activités de sensibilisation à Bangui et en province sont confiées à huit organisations de la société civile (OCS) dont les membres ont été formés par le projet conjoint d’appui à la CPS (gouvernement centrafricain), les volontaires des Nations-Unies, le PNUD et la MINUSCA.
Il a souligné que ces organisations de la société civile seront encadrées par des experts juristes afin qu’elles puissent jouer pleinement leur rôle de relais de sensibilisation auprès de la population en répondant de manière précise aux questions des enquêteurs.
Selon lui, la Cour pénale spéciale doit aller à la rencontre des populations en province, dans les quartiers les plus reculés de Bangui afin d’expliquer ses actions à un moment où celle-ci s’apprête à ouvrir ses enquêtes.
Il a noté que les organisations de la société civile ont largement contribué à la création de la CPS et à la sensibilisation de la population et que pour l’heure, elle souhaite consolider leur savoir-faire et leurs actions, au service des populations en demande de justice en Centrafrique.
Le Directeur financier du PNUD, Oumar Ouatara a quant à lui rappelé que plusieurs ateliers de sensibilisation avaient été organisés à Bangui en juillet 2017 afin de mobiliser les organisations de la société civile, les leaders communautaires sur le rôle et le fonctionnement de la CPS.
Il a salué la signature d’un accord entre les membres de la CPS, les représentants du PNUD, les organisations de la société civile centrafricaine, les organisations de la jeunesse et des femmes.
Il convient de signaler que cette conférence de presse a été animée entre autres par le substitut du procureur de la CPS, Alain Tolmo et du Président de la Ligue centrafricaine des droits de l’homme, Joseph Bindoumi.
Il a souligné que ces organisations de la société civile seront encadrées par des experts juristes afin qu’elles puissent jouer pleinement leur rôle de relais de sensibilisation auprès de la population en répondant de manière précise aux questions des enquêteurs.
Selon lui, la Cour pénale spéciale doit aller à la rencontre des populations en province, dans les quartiers les plus reculés de Bangui afin d’expliquer ses actions à un moment où celle-ci s’apprête à ouvrir ses enquêtes.
Il a noté que les organisations de la société civile ont largement contribué à la création de la CPS et à la sensibilisation de la population et que pour l’heure, elle souhaite consolider leur savoir-faire et leurs actions, au service des populations en demande de justice en Centrafrique.
Le Directeur financier du PNUD, Oumar Ouatara a quant à lui rappelé que plusieurs ateliers de sensibilisation avaient été organisés à Bangui en juillet 2017 afin de mobiliser les organisations de la société civile, les leaders communautaires sur le rôle et le fonctionnement de la CPS.
Il a salué la signature d’un accord entre les membres de la CPS, les représentants du PNUD, les organisations de la société civile centrafricaine, les organisations de la jeunesse et des femmes.
Il convient de signaler que cette conférence de presse a été animée entre autres par le substitut du procureur de la CPS, Alain Tolmo et du Président de la Ligue centrafricaine des droits de l’homme, Joseph Bindoumi.