D'après la ministre Virginie Mbaïkoua, ce rapatriement est la conséquence du retour à la légalité constitutionnelle en République centrafricaine, avec l'élection du président Faustin-Archange Touadéra qui a inscrit dans ses priorités le retour de toutes les filles et tous les fils de Centrafrique pour qu'ils apportent leur pierre à la reconstruction du pays.
Bien que regrettant ce départ, qui a affecté le nombre global des habitants de sa commune, le maire de Bétou, Modeste Maoua, a inscrit ce rapatriement dans un processus normal car, selon lui, "la dignité est plutôt chez soi qu'en asile".
Effectivement, les rapatriés volontaires ont diversement réagi, faisant couler des larmes ou explosant de joie, à la vue du drapeau centrafricain aux cinq couleurs au sommet d'un mât, quelques mètres après la frontière.
Il est à noter que cette opération de rapatriement volontaire des Centrafricains de Bétou découle de la volonté des gouvernements de la République du Congo et de la République centrafricaine, avec le concours du Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) et de ses partenaires.
Bien que regrettant ce départ, qui a affecté le nombre global des habitants de sa commune, le maire de Bétou, Modeste Maoua, a inscrit ce rapatriement dans un processus normal car, selon lui, "la dignité est plutôt chez soi qu'en asile".
Effectivement, les rapatriés volontaires ont diversement réagi, faisant couler des larmes ou explosant de joie, à la vue du drapeau centrafricain aux cinq couleurs au sommet d'un mât, quelques mètres après la frontière.
Il est à noter que cette opération de rapatriement volontaire des Centrafricains de Bétou découle de la volonté des gouvernements de la République du Congo et de la République centrafricaine, avec le concours du Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) et de ses partenaires.