« Le bureau de l’ANECA a déjà entamé une action dans ce sens, en l’occurrence la visite des membres de ce bureau aux étudiants résidant au Km5, dans le 3è arrondissement de Bangui, pour les rassurer que leur sécurité serait garantie en vue de la reprise des cours", a indiqué Norbert Pounaba.
L’unique Université de Bangui, qui dessert le pays, est un lieu où le vivre ensemble, le pardon, la tolérance et la cohésion sociale doivent régner, a-t-il souligné, rappelant que, « beaucoup d’étudiants ont abandonné les études pendant les récentes crises pour diverses raisons ».
Selon lui, certains étudiants accusés d’être complices des groupes armés (séléka et Balaka) étaient obligés de fuir pour être à l’abri de la vindicte populaire, ce qui a provoqué la fuite massive des étudiants centrafricains à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
L’organisation d'une opération dénommée "Festi-Unive" dont le but est de sensibiliser les étudiants sur la cohésion sociale, le vivre ensemble et la tolérance a mené des démarches visant la réconciliation.
C'est pourquoi il exhorte les étudiants qui ont craint pour leur sécurité de reprendre les cours à l’Université de Bangui car "ils sont mieux sécurisés sur le campus qu’au quartier’’, a-t-il ajouté.
Il convient de noter qu’il est difficile de connaître le nombre des étudiants qui ont abandonné les études à cause de l’insécurité.
L’unique Université de Bangui, qui dessert le pays, est un lieu où le vivre ensemble, le pardon, la tolérance et la cohésion sociale doivent régner, a-t-il souligné, rappelant que, « beaucoup d’étudiants ont abandonné les études pendant les récentes crises pour diverses raisons ».
Selon lui, certains étudiants accusés d’être complices des groupes armés (séléka et Balaka) étaient obligés de fuir pour être à l’abri de la vindicte populaire, ce qui a provoqué la fuite massive des étudiants centrafricains à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
L’organisation d'une opération dénommée "Festi-Unive" dont le but est de sensibiliser les étudiants sur la cohésion sociale, le vivre ensemble et la tolérance a mené des démarches visant la réconciliation.
C'est pourquoi il exhorte les étudiants qui ont craint pour leur sécurité de reprendre les cours à l’Université de Bangui car "ils sont mieux sécurisés sur le campus qu’au quartier’’, a-t-il ajouté.
Il convient de noter qu’il est difficile de connaître le nombre des étudiants qui ont abandonné les études à cause de l’insécurité.