Le but de cette conférence de presse est d'évoquer toutes les interventions de MSF en République centrafricaine.
Lors de son exposé, M. Alain Ngokot, coordonnateur médical, a indiqué que MSF s'est implanté en République centrafricaine depuis 1997 et qu'à ce jour, l'organisation humanitaire déploie treize projets dans sept villes centrafricaines que sont Bambari, Bangassou, Boguila, Bria, Carnot, Kabo et Paoua.
Les interventions de MSF, pour un coût en 2018 d'environ 50 millions d'euros, s'inscrivent dans une procédure d'urgence, se réalisant avec 2.720 personnels nationaux et 250 expatriés, a indiqué M. Ngokot.
Les principales interventions de MSF, d'après lui, englobent les consultations, les examens de laboratoire, la distribution des moustiquaires, la fourniture des médicaments, les vaccinations, les urgences chirurgicales, les violences sexuelles, de même que la santé sexuelle et reproductive.
De manière détaillée, il a cité les consultations ambulatoires, les cas de paludisme, de violence et de blessures dues à la guerre, les accouchements, les hospitalisations, les interventions chirurgicales, le VIH et les appuis en ARV (antirétroviraux), sans compter les cas de malnutrition.
Tout cela avoisine plus d'un millier et demi d'interventions.
En février 2019, MSF avait publié le rapport d'une enquête indépendante portant sur des attaques dues à des groupes armés ayant fait quinze morts et vingt neuf blessés en octobre et novembre 2018 dans la ville de Batangafo où l'organisation médicale gère l'hôpital depuis 12 ans.
Le rapport avait notamment ciblé l'inefficacité des casques bleus de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation et la paix en République centrafricaine (MINUSCA), lors des attaques de Batangafo.
Lors de son exposé, M. Alain Ngokot, coordonnateur médical, a indiqué que MSF s'est implanté en République centrafricaine depuis 1997 et qu'à ce jour, l'organisation humanitaire déploie treize projets dans sept villes centrafricaines que sont Bambari, Bangassou, Boguila, Bria, Carnot, Kabo et Paoua.
Les interventions de MSF, pour un coût en 2018 d'environ 50 millions d'euros, s'inscrivent dans une procédure d'urgence, se réalisant avec 2.720 personnels nationaux et 250 expatriés, a indiqué M. Ngokot.
Les principales interventions de MSF, d'après lui, englobent les consultations, les examens de laboratoire, la distribution des moustiquaires, la fourniture des médicaments, les vaccinations, les urgences chirurgicales, les violences sexuelles, de même que la santé sexuelle et reproductive.
De manière détaillée, il a cité les consultations ambulatoires, les cas de paludisme, de violence et de blessures dues à la guerre, les accouchements, les hospitalisations, les interventions chirurgicales, le VIH et les appuis en ARV (antirétroviraux), sans compter les cas de malnutrition.
Tout cela avoisine plus d'un millier et demi d'interventions.
En février 2019, MSF avait publié le rapport d'une enquête indépendante portant sur des attaques dues à des groupes armés ayant fait quinze morts et vingt neuf blessés en octobre et novembre 2018 dans la ville de Batangafo où l'organisation médicale gère l'hôpital depuis 12 ans.
Le rapport avait notamment ciblé l'inefficacité des casques bleus de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation et la paix en République centrafricaine (MINUSCA), lors des attaques de Batangafo.