POLITIQUE
Jourdain Sélébondo, alias Ebé, devant la Cour criminelle
Commandant de zone de la milice anti-balaka pour la région de Boali, Jourdain Sélébondo, est accusé d'avoir, à la tête d'une trentaine d'éléments armés, organisé des pillages, des braquages ayant entraîné mort d'homme dans certains cas.
Les débats conduits par le juge Rock Alfred Ngoumbré ont permis de revenir sur le braquage, en 2015, de l'ancienne vice-présidente du Conseil Nationale de Transition (CNT), Mme Léa Koyassoum Doumta qui revenait d’un enterrement en compagnie de son mari, et dont les éléments de sécurité avaient été désarmés.
Il en est de même des casques bleus du contingent camerounais de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation en Centrafrique(MINUSCA), qui avaient été désarmés.
Jourdain Sélébondo encourt les travaux forcés 'il était reconnu coupable de ces actes criminels prévus et réprimés par le code pénal centrafricain.
Suspendus en début d'après-midi, les débats devaient reprendre mardi 28 août avec les plaidoiries de la partie civile, le réquisitoire du ministère public et les plaidoiries de la défense.
Il faut rappeler que l’accusé Jourdain Sebondo a été arrêté en 2016 au Pk 13, à la porte nord de Bangui.
Les débats conduits par le juge Rock Alfred Ngoumbré ont permis de revenir sur le braquage, en 2015, de l'ancienne vice-présidente du Conseil Nationale de Transition (CNT), Mme Léa Koyassoum Doumta qui revenait d’un enterrement en compagnie de son mari, et dont les éléments de sécurité avaient été désarmés.
Il en est de même des casques bleus du contingent camerounais de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation en Centrafrique(MINUSCA), qui avaient été désarmés.
Jourdain Sélébondo encourt les travaux forcés 'il était reconnu coupable de ces actes criminels prévus et réprimés par le code pénal centrafricain.
Suspendus en début d'après-midi, les débats devaient reprendre mardi 28 août avec les plaidoiries de la partie civile, le réquisitoire du ministère public et les plaidoiries de la défense.
Il faut rappeler que l’accusé Jourdain Sebondo a été arrêté en 2016 au Pk 13, à la porte nord de Bangui.
