Le Directeur de l’Institut Pasteur de Bangui, Dr. Mirdad Kazanji a indiqué que « ce laboratoire financé par le ministère de la santé français permettra de renforcer nos capacités de diagnostic, autorisera des recherches approfondies dans le domaine virologique, en particulier sur le VIH/Sida et les maladies émergentes et donnera ainsi à notre Institut une capacité de surveillance microbiologique inédite en Afrique Centrale ».
Il a également annoncé qu’au mois de juin, Madame Alice Dautry, Directrice de l’Institut Pasteur, qui œuvre à la tête d’un réseau de 32 instituts dans le monde, sera présente à Bangui pour l’inauguration de notre P3 et d’un buste bronze de Louis Pasteur.
« En fin d’année, la visite de Madame Françoise Barré-Sinoussi, prix Nobel de médecine, clôturera cette année exceptionnelle », a-t-il ajouté.
Le ministre de la santé Publique, de la Population de la lutte contre le Sida, André Nalké Dorogo a déclaré qu’avec une Organisation Non Gouvernementale, l’Institut Pasteur de Bangui a mis en évidence le virus dit monkey pox chez un enfant de la Lobaye.
« Au niveau du laboratoire d’analyse biologique plus de 33.000 dossiers ont été traités en 2009 dont 9.000 dossiers du VIH/Sida et 3.000 dossier de tuberculose », a-t-il fait observer.
Le ministre André Nalké Dorogo a réitéré que le cinquantenaire de l’Institut Pasteur de Bangui est également une année marquante pour la République Centrafricaine.
Il est à noter que le coup d’envoi de la célébration du 50ème anniversaire de l’Institut Pasteur de Bangui, s’est déroulé en présence du Président de la République, François Bozizé, le Premier ministre, le professeur Faustin Archange Touadéra et l’Ambassadeur de France à Bangui, Jean Pierre Vidon.
Il convient de rappeler que l’Institut Pasteur de Bangui a été inauguré le 25 février 1961. A cette époque l’Institut comportait un personnel réduit deux médecins et 14 techniciens et quelques agents de laboratoire. Aujourd’hui, l’Institut Pasteur est composé de plus de 100 personnes avec plus de 10 cadres chercheurs centrafricains et 3 postes d’assistants techniques du ministère des affaires étrangères et européennes françaises.
A l’origine, l’Institut a eu comme vocation principale, la recherche sur les arboviroses (comme la fièvre jaune), aujourd’hui, l’Institut Pasteur de Bangui développe des programmes de recherche qui prennent en compte les priorités sanitaires de l’Afrique Centrale.
Il a également annoncé qu’au mois de juin, Madame Alice Dautry, Directrice de l’Institut Pasteur, qui œuvre à la tête d’un réseau de 32 instituts dans le monde, sera présente à Bangui pour l’inauguration de notre P3 et d’un buste bronze de Louis Pasteur.
« En fin d’année, la visite de Madame Françoise Barré-Sinoussi, prix Nobel de médecine, clôturera cette année exceptionnelle », a-t-il ajouté.
Le ministre de la santé Publique, de la Population de la lutte contre le Sida, André Nalké Dorogo a déclaré qu’avec une Organisation Non Gouvernementale, l’Institut Pasteur de Bangui a mis en évidence le virus dit monkey pox chez un enfant de la Lobaye.
« Au niveau du laboratoire d’analyse biologique plus de 33.000 dossiers ont été traités en 2009 dont 9.000 dossiers du VIH/Sida et 3.000 dossier de tuberculose », a-t-il fait observer.
Le ministre André Nalké Dorogo a réitéré que le cinquantenaire de l’Institut Pasteur de Bangui est également une année marquante pour la République Centrafricaine.
Il est à noter que le coup d’envoi de la célébration du 50ème anniversaire de l’Institut Pasteur de Bangui, s’est déroulé en présence du Président de la République, François Bozizé, le Premier ministre, le professeur Faustin Archange Touadéra et l’Ambassadeur de France à Bangui, Jean Pierre Vidon.
Il convient de rappeler que l’Institut Pasteur de Bangui a été inauguré le 25 février 1961. A cette époque l’Institut comportait un personnel réduit deux médecins et 14 techniciens et quelques agents de laboratoire. Aujourd’hui, l’Institut Pasteur est composé de plus de 100 personnes avec plus de 10 cadres chercheurs centrafricains et 3 postes d’assistants techniques du ministère des affaires étrangères et européennes françaises.
A l’origine, l’Institut a eu comme vocation principale, la recherche sur les arboviroses (comme la fièvre jaune), aujourd’hui, l’Institut Pasteur de Bangui développe des programmes de recherche qui prennent en compte les priorités sanitaires de l’Afrique Centrale.