Les objectifs de cette vaste campagne étaient d’assurer la sensibilisation de la communauté en vue de son implication dans le dépistage volontaire, d’organiser des séances éducatives à l’intention des leaders communautaires et de la population sur l’intérêt du dépistage volontaire précoce du VIH/Sida.
Organisée par le ministère de la Santé publique et de la Population, cette campagne de sensibilisation était basée sur la communication interpersonnelle dans les centres de santé, dans les marchés publics et une méthode de sensibilisation porte à porte dans les quartiers et une sensibilisation de masse populaire à travers les animations culturelles et des sketchs, dont les thèmes portaient sur le dépistage volontaire. Ces activités étaient entièrement financées par le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA).
Le Directeur de la Communication en matière de santé au ministère de la Santé Publique et de la Population, le docteur Modeste Hoza a déclaré que « les auteurs de la stigmatisation et de la discrimination sont poursuivis selon les dispositions du code pénal centrafricain ».
Il a relevé que le taux de dépistage serait élevé s’il n’y a plus de discrimination et de la stigmatisation. Cela permettrait à la population de connaître son statut sérologique pour adopter un réel changement de comportement afin d’infléchir la courbe du VIH/Sida en République Centrafricaine.
Selon les résultats de l’Enquête MICS 2006, la séroprévalence du VIH/Sida est estimée à 10% en Centrafrique. Le nombre de personnes vivant avec le VIH est estimé à 240.000 et le sida est actuellement considéré comme l’une des plus importantes causes de mortalité en Centrafrique.
Organisée par le ministère de la Santé publique et de la Population, cette campagne de sensibilisation était basée sur la communication interpersonnelle dans les centres de santé, dans les marchés publics et une méthode de sensibilisation porte à porte dans les quartiers et une sensibilisation de masse populaire à travers les animations culturelles et des sketchs, dont les thèmes portaient sur le dépistage volontaire. Ces activités étaient entièrement financées par le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA).
Le Directeur de la Communication en matière de santé au ministère de la Santé Publique et de la Population, le docteur Modeste Hoza a déclaré que « les auteurs de la stigmatisation et de la discrimination sont poursuivis selon les dispositions du code pénal centrafricain ».
Il a relevé que le taux de dépistage serait élevé s’il n’y a plus de discrimination et de la stigmatisation. Cela permettrait à la population de connaître son statut sérologique pour adopter un réel changement de comportement afin d’infléchir la courbe du VIH/Sida en République Centrafricaine.
Selon les résultats de l’Enquête MICS 2006, la séroprévalence du VIH/Sida est estimée à 10% en Centrafrique. Le nombre de personnes vivant avec le VIH est estimé à 240.000 et le sida est actuellement considéré comme l’une des plus importantes causes de mortalité en Centrafrique.