« Cette conférence des membres des Equipes Techniques Préfectorales et des chefs de Centres de Santé vise à contribuer à une meilleure exécution, coordination et suivi-évaluation décentralisés des programmes multisectoriels de lutte contre le VIH/SIDA, en général, et de la composante 1 du Projet Santé-Education-Sida (PSES) », a indiqué Mme Wodobodé.
« Il s’agira entre autres de faire le point des actions développées dans les 31 sites du Projet Santé-Education-Sida (PSES) par sous composante ainsi que les points forts et faibles enregistrés au cours des deux premières années de mise en œuvre du projet, de restituer les résultats de la supervision intégrée des actions menées dans le cadre de la composante 1 du (PSES), réviser le cahier de suivi et évaluation utilisé pour le suivi des indicateurs retenus dans la composante 1 du (PSES) et d’informer les participants sur les actions financées par le Fonds Mondial et les autres partenaires », a-t-elle ajouté.
M. André Nalké Dorogo, a, quant à lui, souligné que c’est en réponse à la situation évolutive et préoccupante du Sida en République Centrafricaine que le président François Bozizé avait adopté un nouveau Cadre Stratégique de 2006-2010 à l’issue d’une Assemblée Générale qui s’est déroulée le 17 juillet 2006.
« A travers ce Cadre Stratégique National de lutte contre le sida, le gouvernement s’est fixé comme cible, à l’horizon 2010, de contenir ensuite de réduire la propagation du VIH/sida et améliorer la qualité de vie des personnes infectées et ou affectées par le VIH/sida », a fait savoir le ministre de la Santé.
« C’est à travers ce type de concertation que le ministère de la Santé et le CNLS ainsi que tous les acteurs impliqués dans la lutte contre le VIH/Isida peuvent mesurer leur stratégie afin d’améliorer leurs performances dans le duel qui les opposent depuis deux décennies à ce géant qu’est le sida », a estimé le ministre Nalké Dorogo.
En effet, le Projet Santé Education Sida vise à répondre au besoin urgent de la lutte contre le VIH/sida, notamment en améliorant l’accès à la prévention et au traitement et en mettant en place des mesures d’atténuation d’impact.
« Il s’agira entre autres de faire le point des actions développées dans les 31 sites du Projet Santé-Education-Sida (PSES) par sous composante ainsi que les points forts et faibles enregistrés au cours des deux premières années de mise en œuvre du projet, de restituer les résultats de la supervision intégrée des actions menées dans le cadre de la composante 1 du (PSES), réviser le cahier de suivi et évaluation utilisé pour le suivi des indicateurs retenus dans la composante 1 du (PSES) et d’informer les participants sur les actions financées par le Fonds Mondial et les autres partenaires », a-t-elle ajouté.
M. André Nalké Dorogo, a, quant à lui, souligné que c’est en réponse à la situation évolutive et préoccupante du Sida en République Centrafricaine que le président François Bozizé avait adopté un nouveau Cadre Stratégique de 2006-2010 à l’issue d’une Assemblée Générale qui s’est déroulée le 17 juillet 2006.
« A travers ce Cadre Stratégique National de lutte contre le sida, le gouvernement s’est fixé comme cible, à l’horizon 2010, de contenir ensuite de réduire la propagation du VIH/sida et améliorer la qualité de vie des personnes infectées et ou affectées par le VIH/sida », a fait savoir le ministre de la Santé.
« C’est à travers ce type de concertation que le ministère de la Santé et le CNLS ainsi que tous les acteurs impliqués dans la lutte contre le VIH/Isida peuvent mesurer leur stratégie afin d’améliorer leurs performances dans le duel qui les opposent depuis deux décennies à ce géant qu’est le sida », a estimé le ministre Nalké Dorogo.
En effet, le Projet Santé Education Sida vise à répondre au besoin urgent de la lutte contre le VIH/sida, notamment en améliorant l’accès à la prévention et au traitement et en mettant en place des mesures d’atténuation d’impact.