François Bozizé (premier plan) visite une exposition après l'ouverture de la 5ème assemblée générale du CNLS (photo D. Koutou/Acap)
S'exprimant à l’ouverture de la 5ème Assemblée générale du Comité Nationale de Lutte contre le Sida (CNLS), François Bozizé a également invité le gouvernement, à travers le Coordonnateur du CNLS, à veiller à la poursuite des actions permettant à tous les acteurs de mieux connaître le contenu de cette loi promulguée le 12 décembre 2006, et dont la mise en application semble poser des problèmes.
Le Président François Bozizé a souligné que la mobilisation des ressources tant nationales qu’internationales pour l’appui aux activités de lutte contre le VIH/Sida doit être un souci constant du gouvernement, si nous voulons que ce pays dispose d’une population dense et active, gage de développement.
« Je vous encourage à prêter une attention soutenue à ce que les crédits affectés aux actions de lutte contre le sida, inscrits au budget de l’Etat, soit mis chaque fois que cela est possible à la disposition des institutions habilités pour leur permettre d’être toujours opérationnelles », a-t-il déclaré.
« Vous continuerez également de réserver la même attention soutenue à la mise en application des recommandations de cette 5ème Assemblée générale », a-t-il poursuivi.
Le Président du groupe thématique de l’onusida, Aminata Gueye a indiqué que selon le rapport mondial de l’Onu Sida le nombre d e personnes en VIH et le décès lié au sida est de 68%. 76% de ce décès se trouve en Afrique subsaharienne soit les 2/3 de personnes vivant en VIH et ¾ de décès au niveau mondial. 50% des nouvelles infections sont des femmes et 40% sont des jeunes entre 15 et 24 ans.
Le Président du groupe thématique de l’Onusida, Aminata Gueye, a quant à elle souligné que le système des Nations-Unies réaffirme son engagement et sa détermination à poursuivre son soutien aux efforts nationaux pour combattre l’épidémie du sida en République Centrafricaine.
« Nous voudrions vous informer que des dispositions ont été prises par le système des Nations-Unies pour la mise en œuvre des actions de ladite feuille de route », a-t-elle précisé.
Pour les actions à venir, a –t-elle suggéré, le système des Nations-Unies accordera une attention particulière au renforcement de la capacité de structure nationale pour une meilleure appropriation de la lutte contre l’épidémie.
Le Président François Bozizé a souligné que la mobilisation des ressources tant nationales qu’internationales pour l’appui aux activités de lutte contre le VIH/Sida doit être un souci constant du gouvernement, si nous voulons que ce pays dispose d’une population dense et active, gage de développement.
« Je vous encourage à prêter une attention soutenue à ce que les crédits affectés aux actions de lutte contre le sida, inscrits au budget de l’Etat, soit mis chaque fois que cela est possible à la disposition des institutions habilités pour leur permettre d’être toujours opérationnelles », a-t-il déclaré.
« Vous continuerez également de réserver la même attention soutenue à la mise en application des recommandations de cette 5ème Assemblée générale », a-t-il poursuivi.
Le Président du groupe thématique de l’onusida, Aminata Gueye a indiqué que selon le rapport mondial de l’Onu Sida le nombre d e personnes en VIH et le décès lié au sida est de 68%. 76% de ce décès se trouve en Afrique subsaharienne soit les 2/3 de personnes vivant en VIH et ¾ de décès au niveau mondial. 50% des nouvelles infections sont des femmes et 40% sont des jeunes entre 15 et 24 ans.
Le Président du groupe thématique de l’Onusida, Aminata Gueye, a quant à elle souligné que le système des Nations-Unies réaffirme son engagement et sa détermination à poursuivre son soutien aux efforts nationaux pour combattre l’épidémie du sida en République Centrafricaine.
« Nous voudrions vous informer que des dispositions ont été prises par le système des Nations-Unies pour la mise en œuvre des actions de ladite feuille de route », a-t-elle précisé.
Pour les actions à venir, a –t-elle suggéré, le système des Nations-Unies accordera une attention particulière au renforcement de la capacité de structure nationale pour une meilleure appropriation de la lutte contre l’épidémie.