Les étudiants demandent au gouvernement de satisfaire les enseignants afin que les activités pédagogiques reprennent. Sur les banderoles qu’ils ont confectionnées, on peut lire « Nous réclamons le droit à l’éducation et à la formation, qui ne passe que par la reprise des cours à l’université ».
Lundi en début de matinée, les manifestants ont investi l’Avenue des Martyrs (principale artère qui passe devant l’Université), brandissant des banderoles et chantant l’hymne national. Les forces de l’ordre ont intervenu avec du gaz lacrymogène en vue de les disperser. pour qu’ils se dispersent.
La manifestation des étudiants intervient trois semaines après la décision des enseignants, le 14 novembre dernier, de reprendre les enseignements, mais soumettant l’année à une « session unique », décision qui demeure jusqu’ici théorique.
Il convient de rappeler que les cours ont été suspendus à l’université de Bangui depuis plus de trois mois par les enseignants du supérieur qui revendiquent l’apurement du reliquat des frais de vacation de l’année 2004-2005, l’application de leur statut particulier et le départ du recteur de l’université de Bangui, qu’il considèrent comme « un obstacle à leurs revendications ».
Lundi en début de matinée, les manifestants ont investi l’Avenue des Martyrs (principale artère qui passe devant l’Université), brandissant des banderoles et chantant l’hymne national. Les forces de l’ordre ont intervenu avec du gaz lacrymogène en vue de les disperser. pour qu’ils se dispersent.
La manifestation des étudiants intervient trois semaines après la décision des enseignants, le 14 novembre dernier, de reprendre les enseignements, mais soumettant l’année à une « session unique », décision qui demeure jusqu’ici théorique.
Il convient de rappeler que les cours ont été suspendus à l’université de Bangui depuis plus de trois mois par les enseignants du supérieur qui revendiquent l’apurement du reliquat des frais de vacation de l’année 2004-2005, l’application de leur statut particulier et le départ du recteur de l’université de Bangui, qu’il considèrent comme « un obstacle à leurs revendications ».