« En effet, il y aura bientôt 24 ans que notre pays lutte contre cette infection à VIH/Sida et nous demeurerons malgré cela un pays le plus touché en Afrique », a relevé la coordonnatrice du Comité national de lutte contre le sida (CNLS), Mme Hyacinthe Wodobodé.
Elle a précisé que le taux de prévalence du Vih est plus élevé en milieu urbain avec 8,3% contre 4,7 % en milieu rural, selon l’enquête à indicateurs multiples réalisée en 2006.
Selon le docteur Maïga, « Cette journée est une occasion pour célébrer, et surtout, pour offrir à toutes les sensibilités l’opportunité de renouveler leur engagement dans la riposte au sida. Nous continuons donc à unir nos efforts pour faire de l’accès universel et des droits humains un tandem inséparables ».
« Les autorités de notre pays ont marqué la volonté politique de faire de la lutte contre le VIH/sida un combat pour tous les jours, et eu égard à ce qui précède, la journée mondiale de lutte est une occasion privilégiée de mobiliser les populations centrafricaines en faveur de la prévention, la meilleure protection et de leur proposer des services de soins, des traitements et soins de qualité », a déclaré le ministre de la Santé, M. André Nalké Dorogo.
Le ministre a indiqué que « le thème de cette année avec son slogan « Stop sida, tenir la promesse » interpelle non seulement les autorités politico sanitaires, les leaders d’opinion et le comité, mais aussi chacun de nous où qu'il se trouve, et quel que soit son domaine d’activité à promouvoir l’accès universel à la prévention, au traitement, à la prise en charge psychosociale et les droits des personnes infectées ou affectées en Centrafrique ».
M. Nalké Dorogo a enfin exhorté tout le monde à s’engager résolument dans la lutte contre ce fléau qui frappe toutes les familles.
Il faut rappeler que le taux de prévalence du VIH en RCA est de 6,2 %, selon l’enquête à indicateur multiple de 2006. L’épidémie touche toutes les couches sociales, plaçant la Centrafrique au premier rang des pays de la sous-région d’Afrique centrale.
Elle a précisé que le taux de prévalence du Vih est plus élevé en milieu urbain avec 8,3% contre 4,7 % en milieu rural, selon l’enquête à indicateurs multiples réalisée en 2006.
Selon le docteur Maïga, « Cette journée est une occasion pour célébrer, et surtout, pour offrir à toutes les sensibilités l’opportunité de renouveler leur engagement dans la riposte au sida. Nous continuons donc à unir nos efforts pour faire de l’accès universel et des droits humains un tandem inséparables ».
« Les autorités de notre pays ont marqué la volonté politique de faire de la lutte contre le VIH/sida un combat pour tous les jours, et eu égard à ce qui précède, la journée mondiale de lutte est une occasion privilégiée de mobiliser les populations centrafricaines en faveur de la prévention, la meilleure protection et de leur proposer des services de soins, des traitements et soins de qualité », a déclaré le ministre de la Santé, M. André Nalké Dorogo.
Le ministre a indiqué que « le thème de cette année avec son slogan « Stop sida, tenir la promesse » interpelle non seulement les autorités politico sanitaires, les leaders d’opinion et le comité, mais aussi chacun de nous où qu'il se trouve, et quel que soit son domaine d’activité à promouvoir l’accès universel à la prévention, au traitement, à la prise en charge psychosociale et les droits des personnes infectées ou affectées en Centrafrique ».
M. Nalké Dorogo a enfin exhorté tout le monde à s’engager résolument dans la lutte contre ce fléau qui frappe toutes les familles.
Il faut rappeler que le taux de prévalence du VIH en RCA est de 6,2 %, selon l’enquête à indicateur multiple de 2006. L’épidémie touche toutes les couches sociales, plaçant la Centrafrique au premier rang des pays de la sous-région d’Afrique centrale.