
Le chargé de missions à l’éducation nationale Romain Sopio a expliqué la circonstance de la fête en indiquant que la date du 18 janvier de chaque année représente une date mémorable, marquant le déroulement du grève qui a pour cause le port de tenue exigé aux élèves des lycées par l’ex Empereur Bokassa 1er, et le non-paiement de salaires des fonctionnaires à susciter la réaction des parents et élèves contre la décision de l’Ex Empereur Bokassa 1er , coûtant ainsi la vie humaine.
L’Administrateur général de l’établissement Gutschool Professeur Henri Kopulayom a soutenu cependant que chaque jour est une occasion de rendre hommage aux élèves et étudiants qui ont été tués le 18 janvier 1979, et également montrer la gratitude pour leur sacrifice, et c’est aussi une occasion de veiller à ce que leur sacrifice ne soit pas vain.
« Nous devons absolument nous souvenir des dizaines d’écoliers tombés il y’a 45 ans sous les balles de la police et de l’armée de l’Empereur Bokassa 1er, alors qu’ils protestaient contre les prix des uniformes qu’on leur imposait » a ajouté Professeur Henri Kopulayom.
Il est à noter que cette journée des martyrs est célébrée tous les 18 janvier de chaque année à la mémoire des étudiants et élèves tués par les éléments de la police et des Forces Armées Centrafricaines, à cause de l’uniforme autorisé par L’Empereur à l’époque.
.
L’Administrateur général de l’établissement Gutschool Professeur Henri Kopulayom a soutenu cependant que chaque jour est une occasion de rendre hommage aux élèves et étudiants qui ont été tués le 18 janvier 1979, et également montrer la gratitude pour leur sacrifice, et c’est aussi une occasion de veiller à ce que leur sacrifice ne soit pas vain.
« Nous devons absolument nous souvenir des dizaines d’écoliers tombés il y’a 45 ans sous les balles de la police et de l’armée de l’Empereur Bokassa 1er, alors qu’ils protestaient contre les prix des uniformes qu’on leur imposait » a ajouté Professeur Henri Kopulayom.
Il est à noter que cette journée des martyrs est célébrée tous les 18 janvier de chaque année à la mémoire des étudiants et élèves tués par les éléments de la police et des Forces Armées Centrafricaines, à cause de l’uniforme autorisé par L’Empereur à l’époque.
.