A Bangui, les ONG nationales et internationales ainsi que les agences des Nations Unies ont dressé des stands pour expliquer au public le travail qu’ils font au quotidien pour sauver des vies.
La ministre de l’Action humanitaire et de la Réconciliation nationale, Virginie M’Baïkoua, a expliqué que la République centrafricaine a saisi ce moment pour rendre hommage au courage des travailleurs humanitaires, en particulier aux nombreuses femmes qui ont risqué leur vie pour venir en aide aux plus démunis.
Elle a indiqué que les femmes centrafricaines ont été, avec les enfants, les premières victimes d’un conflit qui a exacerbé les inégalités du genre, leurs conditions de vie se sont détériorées en termes d’accueil aux services sociaux de base dans le domaine de la santé et de l’éducation.
Selon elle, face à ces nombreux défis, des vaillantes femmes ont répondu présentes pour redonner espoir aux personnes affectées par le conflit et qu’il s’avère important de leur rendre un hommage mérité.
« En ma qualité de ministre en charge de l’Action humanitaire, j’ai l’honneur de rencontrer les femmes pleines de courage et de résilience et c’est à ces femmes que nous devons rendre aussi hommage », a-t-elle poursuivi.
Le membre du gouvernement a salué l’action des ONG humanitaires internationales et nationales notamment au travail des femmes qui se battent au quotidien pour redonner dignité aux femmes victimes des exactions des groupes armés.
Elle a en outre remercié les bailleurs de fonds et la communauté internationale pour l’appui financier qui permet au gouvernement de poursuivre ses actions et de sauver des vies, voire d’aider les personnes les plus vulnérables.
Le Coordonnateur humanitaire intérimaire, Jean-François Aguilera, a souligné que la situation en Centrafrique demeure précaire, avec plus de 174.000 personnes déplacées à l’intérieur du pays, tandis que 605.000 réfugiés sont toujours dans les pays voisins et qu’on estime qu'un centrafricain sur quatre a été arraché de son foyer par la violence, de sorte que 63% de la population a un besoin d’assistance humanitaire.
Il a fait savoir qu’en complément des efforts déployés par le gouvernement, l’aide de l’assistance humanitaire reste indispensable, qu’il s’agisse de l’aide apportée par les ONG nationales, internationales, par les systèmes des Nations-Unies ou par le mouvement international de la Croix-Rouge.
De son côté, la présidente de la plateforme des ONG nationales, Pricesse-Nadia Gny-Tokombi, a noté que les femmes humanitaires à l’honneur aujourd’hui sont celles qui travaillent aussi bien dans les ONG humanitaires que toutes les femmes qui ont pu apporter assistance à un compatriote ou à une autre personne en situation difficile.
Il convient de rappeler que c’est en 2004 que les Nations-Unies ont institué le 19 août la journée mondiale de l’aide humanitaire.
La ministre de l’Action humanitaire et de la Réconciliation nationale, Virginie M’Baïkoua, a expliqué que la République centrafricaine a saisi ce moment pour rendre hommage au courage des travailleurs humanitaires, en particulier aux nombreuses femmes qui ont risqué leur vie pour venir en aide aux plus démunis.
Elle a indiqué que les femmes centrafricaines ont été, avec les enfants, les premières victimes d’un conflit qui a exacerbé les inégalités du genre, leurs conditions de vie se sont détériorées en termes d’accueil aux services sociaux de base dans le domaine de la santé et de l’éducation.
Selon elle, face à ces nombreux défis, des vaillantes femmes ont répondu présentes pour redonner espoir aux personnes affectées par le conflit et qu’il s’avère important de leur rendre un hommage mérité.
« En ma qualité de ministre en charge de l’Action humanitaire, j’ai l’honneur de rencontrer les femmes pleines de courage et de résilience et c’est à ces femmes que nous devons rendre aussi hommage », a-t-elle poursuivi.
Le membre du gouvernement a salué l’action des ONG humanitaires internationales et nationales notamment au travail des femmes qui se battent au quotidien pour redonner dignité aux femmes victimes des exactions des groupes armés.
Elle a en outre remercié les bailleurs de fonds et la communauté internationale pour l’appui financier qui permet au gouvernement de poursuivre ses actions et de sauver des vies, voire d’aider les personnes les plus vulnérables.
Le Coordonnateur humanitaire intérimaire, Jean-François Aguilera, a souligné que la situation en Centrafrique demeure précaire, avec plus de 174.000 personnes déplacées à l’intérieur du pays, tandis que 605.000 réfugiés sont toujours dans les pays voisins et qu’on estime qu'un centrafricain sur quatre a été arraché de son foyer par la violence, de sorte que 63% de la population a un besoin d’assistance humanitaire.
Il a fait savoir qu’en complément des efforts déployés par le gouvernement, l’aide de l’assistance humanitaire reste indispensable, qu’il s’agisse de l’aide apportée par les ONG nationales, internationales, par les systèmes des Nations-Unies ou par le mouvement international de la Croix-Rouge.
De son côté, la présidente de la plateforme des ONG nationales, Pricesse-Nadia Gny-Tokombi, a noté que les femmes humanitaires à l’honneur aujourd’hui sont celles qui travaillent aussi bien dans les ONG humanitaires que toutes les femmes qui ont pu apporter assistance à un compatriote ou à une autre personne en situation difficile.
Il convient de rappeler que c’est en 2004 que les Nations-Unies ont institué le 19 août la journée mondiale de l’aide humanitaire.