Destinée à informer l’opinion nationale et les partenaires au développement sur la prise en charge de cette maladie encore méconnue du public centrafricain, cette marche de 3 km, organisée sur l’avenue de France, s’est achevée au pavillon psychiatrique du Centre hospitalier universitaire de Bangui (Cnhub) où les manifestants ont rendu visite aux malades.
Interrogé par l’ACAP, M Aristide Kaimba, le président de l’association Cœur Amour, a expliqué que les maladies mentales ne sont pas prises en charge comme le paludisme, la tuberculose, le sida, le diabète et autres, donc « notre mission pendant la 5ème journée de la schizophrénie, consiste à vulgariser l’existence de cette maladie afin d’obtenir des aides auprès des partenaires pour promouvoir la prise en charge de celles-ci.
M Roger Berang Maître assistant au département de géographie l’université de Bangui, rapporteur général de l’association Cœur amour, pour lui s’est réjoui de la tenue de cette marche de solidarité aux malades mentales, ainsi que leurs parents, il continu que c’est l’occasion à jamais de leur prouver qu’ils sont comme tout autres personnes malgré leur état de santé, on ne peut pas les marginaliser.
Signalons que, cette marche est organisée en prélude à la 5ème journée francophone de la schizophrénie, qui est la première du genre en centrafrique.
Interrogé par l’ACAP, M Aristide Kaimba, le président de l’association Cœur Amour, a expliqué que les maladies mentales ne sont pas prises en charge comme le paludisme, la tuberculose, le sida, le diabète et autres, donc « notre mission pendant la 5ème journée de la schizophrénie, consiste à vulgariser l’existence de cette maladie afin d’obtenir des aides auprès des partenaires pour promouvoir la prise en charge de celles-ci.
M Roger Berang Maître assistant au département de géographie l’université de Bangui, rapporteur général de l’association Cœur amour, pour lui s’est réjoui de la tenue de cette marche de solidarité aux malades mentales, ainsi que leurs parents, il continu que c’est l’occasion à jamais de leur prouver qu’ils sont comme tout autres personnes malgré leur état de santé, on ne peut pas les marginaliser.
Signalons que, cette marche est organisée en prélude à la 5ème journée francophone de la schizophrénie, qui est la première du genre en centrafrique.