
Le but de la présente consultation nationale dont les résultats feront l’objet des discussions lors du sommet des chefs d’Etats de la région des Grands Lacs, prévu pour le 15 décembre prochain à Kampala en OUGUANDA, vise à fournir des informations, des recommandations appropriées afin de permettre aux gouvernements des régions des Grands Lacs, de renforcer leurs efforts en vue d’une action synergique et concertée contre les violences sexuelles basées sur le genre.
En ouvrant les travaux, la ministre, Dorothée Malénzapa a spécifié aux séminaristes que «la République Centrafricaine à l’instar des autres pays de la sous-région des Grands Lacs a connu un certain nombre de conflits au cours desquels les femmes et les filles ont été soumises à des traitements dégradants et humiliants qui se sont traduits par des abus, des sévices et des violences sexuelles, le viol étant utilisé comme arme de guerre exposant les filles à des conséquences désastreuses parmi lesquels le VIH/SIDA, les grossesses non désirées, et des stresses post- traumatiques».
Elle a émis le vœu que cette consultation tient toutes ses promesses et ouvre de s nouveaux canaux pour mettre un terme à la violence et l’exploitation sexuelle des femmes et des enfants dans notre pays, en dépit d’un arsenal juridique pris au niveau national, régional et international.
La Ministre des Affaires Sociales, Marguerite Pétro- Koni-Zézé a mis en exergue le fait que depuis sa mise en place, la conférence internationale sur les Grands Lacs a fait de la question de la prévention des violences sexuelles basées sur le genre, et la protection des femmes et des enfants contre ce fléau, l’une de ses priorités en raison de leurs impacts sur la sécurité, la stabilité et le développement de la région.
«En plus des instruments juridiques que je viens d’évoquer dans le cadre de la protection des femmes, les résultats de cette consultation nationale complèteront les dispositifs nationaux en matière d’outils de lutte contre ce fléau » a-t-elle souligné.
La présidente du Forum National des Femmes, Marguerite Ramadan a pour sa part demandé aux participantes de faire des bonnes propositions qui pourront retenir l’attention des Chefs d’Etat et de Gouvernement le 15 septembre prochain à Kampala.
Enfin, elle a galvanisé la salle en disant que : « Les femmes attendent de ce sommet que les Etats-membres prennent des mesures appropriées pour que nos sœurs de la région recouvrent leur dignité et que ce fléau soit à jamais banni».
Rappelons que la prise en charge des victimes de violences sexuelles basées sur le genre durant des multiples conflits ayant survenus dans cet espace des grands lacs, dépendent beaucoup des conclusions des travaux de ce sommet.
En ouvrant les travaux, la ministre, Dorothée Malénzapa a spécifié aux séminaristes que «la République Centrafricaine à l’instar des autres pays de la sous-région des Grands Lacs a connu un certain nombre de conflits au cours desquels les femmes et les filles ont été soumises à des traitements dégradants et humiliants qui se sont traduits par des abus, des sévices et des violences sexuelles, le viol étant utilisé comme arme de guerre exposant les filles à des conséquences désastreuses parmi lesquels le VIH/SIDA, les grossesses non désirées, et des stresses post- traumatiques».
Elle a émis le vœu que cette consultation tient toutes ses promesses et ouvre de s nouveaux canaux pour mettre un terme à la violence et l’exploitation sexuelle des femmes et des enfants dans notre pays, en dépit d’un arsenal juridique pris au niveau national, régional et international.
La Ministre des Affaires Sociales, Marguerite Pétro- Koni-Zézé a mis en exergue le fait que depuis sa mise en place, la conférence internationale sur les Grands Lacs a fait de la question de la prévention des violences sexuelles basées sur le genre, et la protection des femmes et des enfants contre ce fléau, l’une de ses priorités en raison de leurs impacts sur la sécurité, la stabilité et le développement de la région.
«En plus des instruments juridiques que je viens d’évoquer dans le cadre de la protection des femmes, les résultats de cette consultation nationale complèteront les dispositifs nationaux en matière d’outils de lutte contre ce fléau » a-t-elle souligné.
La présidente du Forum National des Femmes, Marguerite Ramadan a pour sa part demandé aux participantes de faire des bonnes propositions qui pourront retenir l’attention des Chefs d’Etat et de Gouvernement le 15 septembre prochain à Kampala.
Enfin, elle a galvanisé la salle en disant que : « Les femmes attendent de ce sommet que les Etats-membres prennent des mesures appropriées pour que nos sœurs de la région recouvrent leur dignité et que ce fléau soit à jamais banni».
Rappelons que la prise en charge des victimes de violences sexuelles basées sur le genre durant des multiples conflits ayant survenus dans cet espace des grands lacs, dépendent beaucoup des conclusions des travaux de ce sommet.