L’appel de M. Ntelnoumbi se situe dans le cadre de la première journée mondiale de lutte contre le paludisme, que le gouvernement centrafricain a décidé de célébrer dans une localité de l’arrière-pays en raison des ravages de cette maladie dans les zones rurales du pays.
Il ressort en effet d’une récente enquête (Mics 3) qu’en milieu rural, seulement 36% des enfants souffrant de la fièvre au cours des deux dernières semaines précédant l’enquête sont soumis dès les 24 heures suivantes aux traitements antipaludéens appropriés, contre 48% en milieu urbain.
L’enquête révèle également que seulement 33% des enfants de moins de 5 ans ont dormi sous une moustiquaire au cours des 2 dernières semaines précédentes, précisant que seulement 15% ont dormi sous une moustiquaire imprégnée et que le taux d’utilisation de la moustiquaire imprégnée est nettement plus élevé en milieu urbain (24%) qu’en milieu rural (10%).
L’enquête établit par ailleurs que la prise en charge des enfants qui ont souffert de fièvre est meilleure chez ceux dont les mères ont atteint le niveau secondaire ou plus (52%) que chez ceux dont les mères n’ont pas été instruites (35%).
Il convient de signaler que les taux de prévalence de la fièvre sont paradoxalement plus élevés chez les enfants vivant dans les ménages les plus riches (26%) que ceux de ménages pauvres (20%).
Il ressort en effet d’une récente enquête (Mics 3) qu’en milieu rural, seulement 36% des enfants souffrant de la fièvre au cours des deux dernières semaines précédant l’enquête sont soumis dès les 24 heures suivantes aux traitements antipaludéens appropriés, contre 48% en milieu urbain.
L’enquête révèle également que seulement 33% des enfants de moins de 5 ans ont dormi sous une moustiquaire au cours des 2 dernières semaines précédentes, précisant que seulement 15% ont dormi sous une moustiquaire imprégnée et que le taux d’utilisation de la moustiquaire imprégnée est nettement plus élevé en milieu urbain (24%) qu’en milieu rural (10%).
L’enquête établit par ailleurs que la prise en charge des enfants qui ont souffert de fièvre est meilleure chez ceux dont les mères ont atteint le niveau secondaire ou plus (52%) que chez ceux dont les mères n’ont pas été instruites (35%).
Il convient de signaler que les taux de prévalence de la fièvre sont paradoxalement plus élevés chez les enfants vivant dans les ménages les plus riches (26%) que ceux de ménages pauvres (20%).