L’objectif de cet atelier est de réfléchir sur les stratégies nationales afin d’éradiquer les maladies bactériennes et de verminoses gastro-intestinales en vue de permettre au secteur de l’élevage de soutenir efficacement l’économie de la République Centrafricaine.
Yérima Youssoufa Mandjo a relevé que « les éleveurs ont besoin de médicaments trypanocides, des antibiotiques, des vermifuges et des compléments alimentaires pour leur bétail afin de préserver les cheptels ».
« Je compte sur vous, pour que les résultats auxquels vous parviendrez, puissent aider les éleveurs à retrouver un réel espoir afin de participer comme par le passé à la relance de l’économie de notre pays », a conclu le ministre Yérima Youssoufa Mandjo.
Faisant l’analyse de la pathologie de la santé animale, le représentant de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC), Dr Bachirou Demsa a rappelé avec précisions que « le cheptel, tant du gros que du petit bétail en Centrafrique est constamment menacé par les pathologies animales ».
«Nous devons rédynamiser ce réseau, en formant des cadres pour que de manière instantanée, en temps réel, des informations zoo-sanitaires puissent nous parvenir des éleveurs et du système de commercialisation des animaux et denrée dérivée pour que le gouvernement puisse prendre des dispositions nécessaires pour endiguer des fléaux », a-t-il poursuivi.
Le chargé de Programme de la FAO, Etienne Gougnon Gagbia, a envisagé de relancer toutes les activités liées à l’élevage et celles du secteur agro-pastoral, tout en renforçant un système de réponse afin de permettre à l’organisation onusienne de réagir plus rapidement.
Organisé par la plate forme internationale de politique d’élevage en République Centrafricaine, en collaboration avec le Projet Gouvernance Vétérinaire (VETGOV) du bureau inter africain des ressources animales de l’Union Africaine (UA-BIRA), cet atelier a regroupé des experts des départements ministériels concernés et les organismes.
Yérima Youssoufa Mandjo a relevé que « les éleveurs ont besoin de médicaments trypanocides, des antibiotiques, des vermifuges et des compléments alimentaires pour leur bétail afin de préserver les cheptels ».
« Je compte sur vous, pour que les résultats auxquels vous parviendrez, puissent aider les éleveurs à retrouver un réel espoir afin de participer comme par le passé à la relance de l’économie de notre pays », a conclu le ministre Yérima Youssoufa Mandjo.
Faisant l’analyse de la pathologie de la santé animale, le représentant de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC), Dr Bachirou Demsa a rappelé avec précisions que « le cheptel, tant du gros que du petit bétail en Centrafrique est constamment menacé par les pathologies animales ».
«Nous devons rédynamiser ce réseau, en formant des cadres pour que de manière instantanée, en temps réel, des informations zoo-sanitaires puissent nous parvenir des éleveurs et du système de commercialisation des animaux et denrée dérivée pour que le gouvernement puisse prendre des dispositions nécessaires pour endiguer des fléaux », a-t-il poursuivi.
Le chargé de Programme de la FAO, Etienne Gougnon Gagbia, a envisagé de relancer toutes les activités liées à l’élevage et celles du secteur agro-pastoral, tout en renforçant un système de réponse afin de permettre à l’organisation onusienne de réagir plus rapidement.
Organisé par la plate forme internationale de politique d’élevage en République Centrafricaine, en collaboration avec le Projet Gouvernance Vétérinaire (VETGOV) du bureau inter africain des ressources animales de l’Union Africaine (UA-BIRA), cet atelier a regroupé des experts des départements ministériels concernés et les organismes.