Le développement des entreprises chinoises en Afrique dépend non seulement de leur propre gestion, mais également des efforts conjugués par leurs personnels locaux, souligne M. Wen, arrivé vendredi dans la capitale égyptienne pour effectuer une visite officielle.
Le Premier ministre chinois, qui doit assister à l'ouverture de la quatrième conférence ministérielle du Forum de coopération Chine-Afrique, demande au groupe Huawei à entreprendre ses programmes de formation sur la base de son développement propre, mais aussi dans une perspective globale de la coopération sino-africaine.
Dans la salle de visioconférence, M. Wen échange de vive voix avec des stagiaires africains qui suivent une formation dans différents centres de formation de Huawei.
"Mon nom chinois est Hua Mulan", se présente en chinois parfait une jeune Nigériane, assise devant l'écran du centre de formation de Huawei au Nigeria.
"Votre nom est facile à retenir, car c'est le même que celui d'une héroïne d'une ancienne légende chinoise", répond M. Wen, en souriant.
Selon la formatrice nigériane, elle-même formée dans le quartier général de Huawei, installé à Shenzhen, plus de 5.000 personnes ont reçu une formation professionnelle ces dernières années dans son centre au Nigeria.
Elle exprime le souhait de pouvoir transmettre aux Africains les connaissances et les expériences qu'elle a acquises en Chine.
"Cela témoigne d'une évolution importante de la coopération Chine-Afrique, dans le sens où une place de plus en plus large est accordée à la formation du personnel. Les Africains sont courageux et intelligents. Je suis convaincu que vous pouvez maîtriser les technologies modernes et promouvoir le développement de l'Afrique", observe M. Wen.
Le groupe Huawei, qui a installé ses branches dans la quasi-totalité des pays africains, dispose de six centres de formation sur le continent, où plus de 12.000 Africains ont déjà reçu une formation. Et son centre en Egypte a ouvert en octobre dernier.
Hend Kiwan, une Egyptienne de 33 ans, est une directrice en ressources humaines. Elle affirme avoir acquis des connaissances et des techniques dans le centre de formation au Caire.
Moussa Bousso, stagiaire sénégalais, declare à M. Wen que les formateurs du centre sont excellents. Pour lui, les produits chinois de télécommunications, d'une bonne qualité et d'un prix moins élevé, sont très populaires chez les Africains.
Wen Jiabao se déclare "ravi" de constater que les relations Chine-Afrique se sont étendues à la coopération technologique. Il souhaite voir les nouvelles technologies se développer rapidement en Afrique pour donner un nouveau visage à ce continent riche en ressources naturelles.
Le Premier ministre chinois, qui doit assister à l'ouverture de la quatrième conférence ministérielle du Forum de coopération Chine-Afrique, demande au groupe Huawei à entreprendre ses programmes de formation sur la base de son développement propre, mais aussi dans une perspective globale de la coopération sino-africaine.
Dans la salle de visioconférence, M. Wen échange de vive voix avec des stagiaires africains qui suivent une formation dans différents centres de formation de Huawei.
"Mon nom chinois est Hua Mulan", se présente en chinois parfait une jeune Nigériane, assise devant l'écran du centre de formation de Huawei au Nigeria.
"Votre nom est facile à retenir, car c'est le même que celui d'une héroïne d'une ancienne légende chinoise", répond M. Wen, en souriant.
Selon la formatrice nigériane, elle-même formée dans le quartier général de Huawei, installé à Shenzhen, plus de 5.000 personnes ont reçu une formation professionnelle ces dernières années dans son centre au Nigeria.
Elle exprime le souhait de pouvoir transmettre aux Africains les connaissances et les expériences qu'elle a acquises en Chine.
"Cela témoigne d'une évolution importante de la coopération Chine-Afrique, dans le sens où une place de plus en plus large est accordée à la formation du personnel. Les Africains sont courageux et intelligents. Je suis convaincu que vous pouvez maîtriser les technologies modernes et promouvoir le développement de l'Afrique", observe M. Wen.
Le groupe Huawei, qui a installé ses branches dans la quasi-totalité des pays africains, dispose de six centres de formation sur le continent, où plus de 12.000 Africains ont déjà reçu une formation. Et son centre en Egypte a ouvert en octobre dernier.
Hend Kiwan, une Egyptienne de 33 ans, est une directrice en ressources humaines. Elle affirme avoir acquis des connaissances et des techniques dans le centre de formation au Caire.
Moussa Bousso, stagiaire sénégalais, declare à M. Wen que les formateurs du centre sont excellents. Pour lui, les produits chinois de télécommunications, d'une bonne qualité et d'un prix moins élevé, sont très populaires chez les Africains.
Wen Jiabao se déclare "ravi" de constater que les relations Chine-Afrique se sont étendues à la coopération technologique. Il souhaite voir les nouvelles technologies se développer rapidement en Afrique pour donner un nouveau visage à ce continent riche en ressources naturelles.