La direction générale de la SOCASP a organisé ce point de presse pour que les médias publics et privés sensibilisent le public sur la prochaine augmentation des prix des produits pétroliers.
M. Dimbélé a expliqué que le gouvernement centrafricain ne peut plus continuer à payer l’écart entre les prix réels et les prix à la pompe aux marketteurs, qui s'est élevé pour le mois d’avril à 970 006.026 FCFA pour les produits pétroliers en provenance de Douala par voie routière.
Ce montant provient, selon lui, de la différence payée pour les produits pétroliers, qui sont vendus à 680 FCFA le litre au lieu de 750 F CFA pour le super (soit 70 F), 380 F contre 672 F CFA (soit 292 F)pour le litre de pétrole, 670 F CFA au lieu de 858 F CFA (soit 188 F) pour le gasoil et 410 F CFA au lieu de 505 F CFA (soit 95) pour le fuel, le volume consommé étant respectivement de 1.644.149 l, 1.070.374 l, 2.0834.996 l et 98.812 l.
Il a ajouté que c’est depuis le mois de janvier que le gouvernement consent ce sacrifice, et qu'il est dans l’obligation d’augmenter les prix des hydrocarbures, n'étant plus en mesure de poursuivre son effort.
« Il sera mis en place un comité de réflexion en charge d’observer pendant cette période les prix des hydrocarbures sur les marchés internationaux avant de fixer le taux et voir les mesures d’accompagnement, » a-t-il conclu.
M. Dimbélé a expliqué que le gouvernement centrafricain ne peut plus continuer à payer l’écart entre les prix réels et les prix à la pompe aux marketteurs, qui s'est élevé pour le mois d’avril à 970 006.026 FCFA pour les produits pétroliers en provenance de Douala par voie routière.
Ce montant provient, selon lui, de la différence payée pour les produits pétroliers, qui sont vendus à 680 FCFA le litre au lieu de 750 F CFA pour le super (soit 70 F), 380 F contre 672 F CFA (soit 292 F)pour le litre de pétrole, 670 F CFA au lieu de 858 F CFA (soit 188 F) pour le gasoil et 410 F CFA au lieu de 505 F CFA (soit 95) pour le fuel, le volume consommé étant respectivement de 1.644.149 l, 1.070.374 l, 2.0834.996 l et 98.812 l.
Il a ajouté que c’est depuis le mois de janvier que le gouvernement consent ce sacrifice, et qu'il est dans l’obligation d’augmenter les prix des hydrocarbures, n'étant plus en mesure de poursuivre son effort.
« Il sera mis en place un comité de réflexion en charge d’observer pendant cette période les prix des hydrocarbures sur les marchés internationaux avant de fixer le taux et voir les mesures d’accompagnement, » a-t-il conclu.