L’objet de cette deuxième réunion était de permettre aux différents groupes thématiques de présenter leurs priorités, en vue de redynamiser la mise en œuvre des conclusions opérationnelles du séminaire national sur la Réforme du secteur de la sécurité tenu à Bangui du 14 au 17 avril dernier à Bangui.
« L’objectif de la réforme du secteur sécuritaire consiste donc à établir un environnement sécurisé qui stimule le développement. Cette réforme englobe désormais la prospérité de nos compatriotes et évolue dans un contexte démocratique de bonne gouvernance et de justice sociale, gage de paix et de réduction de la pauvreté », a déclaré le Professeur Touadéra.
Pour le chef du gouvernement, «les implications du secteur de la sécurité dans la mise en œuvre du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) sont indispensables à la survie de la nation, car elles concernent le retour de la paix, la reprise des activités économiques sur toute l’étendue du territoire national, le fonctionnement normal de l’Etat, le retour des investisseurs et la reprise de la coopération internationale ».
Il a fait remarquer que la question de la sécurité constitue actuellement l’une des priorités du gouvernement en raison de ses liens étroits avec le Dsrp. Pour lui, le secteur de la sécurité apparaît comme le premier pilier du Dsrp et s’affirme comme la condition sine qua non pour le développement social de notre pays.
« Comment envisager la mise en œuvre des différents programmes de développement dans un environnement caractérisé par une instabilité chronique et une remise en question permanente des bases de notre jeune démocratie ? », s'est interrogé le premier ministre.
Pour le ministre délégué à la Défense nationale M. Jean Francis Bozizé, la deuxième réunion du comité sectoriel devrait « insuffler une impulsion nouvelle » à l’action des groupes thématiques, de tous les acteurs et de recenser les priorités.
Il a par ailleurs rappelé et annoncé quelques actions déjà réalisées par le gouvernement pour la réforme du secteur du secteur de la sécurité en République Centrafricaine, entre autres la sortie des élèves officiers d’active, l’ouverture de l’Ecole nationale des sous-officiers d’actives ainsi que le « toilettage » des forces de défense et de sécurité à travers « un recrutement pluri-ethnique ».
Il convient de signaler qu’au cours de cette réunion, le ministre délégué à la Défense nationale M. Jean Francis Bozizé, a investi le bureau du comité de Droit international humanitaire (Dih) auprès des Forces armées centrafricaines, chargé de diffuser les principes du Droit humanitaire aux soldats, pour un meilleur comportement en période de paix ou de guerre.
Il faut signaler qu'il existe cinq groupes thématiques. Il s'agit des groupes thématiques de la Défense, des Finances, des Eaux et forêts, de l'Intérieur et des renseignements. En fonction des conclusions opérationnelles du séminaire national sur la réforme du secteur de la sécurité, chaque groupe thématique devrait définir des priorités pouvant contribuer à court, moyen et long terme à une transformation du système de sécurité en République Centrafricaine.
« L’objectif de la réforme du secteur sécuritaire consiste donc à établir un environnement sécurisé qui stimule le développement. Cette réforme englobe désormais la prospérité de nos compatriotes et évolue dans un contexte démocratique de bonne gouvernance et de justice sociale, gage de paix et de réduction de la pauvreté », a déclaré le Professeur Touadéra.
Pour le chef du gouvernement, «les implications du secteur de la sécurité dans la mise en œuvre du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) sont indispensables à la survie de la nation, car elles concernent le retour de la paix, la reprise des activités économiques sur toute l’étendue du territoire national, le fonctionnement normal de l’Etat, le retour des investisseurs et la reprise de la coopération internationale ».
Il a fait remarquer que la question de la sécurité constitue actuellement l’une des priorités du gouvernement en raison de ses liens étroits avec le Dsrp. Pour lui, le secteur de la sécurité apparaît comme le premier pilier du Dsrp et s’affirme comme la condition sine qua non pour le développement social de notre pays.
« Comment envisager la mise en œuvre des différents programmes de développement dans un environnement caractérisé par une instabilité chronique et une remise en question permanente des bases de notre jeune démocratie ? », s'est interrogé le premier ministre.
Pour le ministre délégué à la Défense nationale M. Jean Francis Bozizé, la deuxième réunion du comité sectoriel devrait « insuffler une impulsion nouvelle » à l’action des groupes thématiques, de tous les acteurs et de recenser les priorités.
Il a par ailleurs rappelé et annoncé quelques actions déjà réalisées par le gouvernement pour la réforme du secteur du secteur de la sécurité en République Centrafricaine, entre autres la sortie des élèves officiers d’active, l’ouverture de l’Ecole nationale des sous-officiers d’actives ainsi que le « toilettage » des forces de défense et de sécurité à travers « un recrutement pluri-ethnique ».
Il convient de signaler qu’au cours de cette réunion, le ministre délégué à la Défense nationale M. Jean Francis Bozizé, a investi le bureau du comité de Droit international humanitaire (Dih) auprès des Forces armées centrafricaines, chargé de diffuser les principes du Droit humanitaire aux soldats, pour un meilleur comportement en période de paix ou de guerre.
Il faut signaler qu'il existe cinq groupes thématiques. Il s'agit des groupes thématiques de la Défense, des Finances, des Eaux et forêts, de l'Intérieur et des renseignements. En fonction des conclusions opérationnelles du séminaire national sur la réforme du secteur de la sécurité, chaque groupe thématique devrait définir des priorités pouvant contribuer à court, moyen et long terme à une transformation du système de sécurité en République Centrafricaine.