POLITIQUE
Cette annonce à été faite au cours d’un point de presse, qu’elle a animé dans la salle de conférence de la Beac à Bangui, pour restituer les résultats de la 3ème réunion ordinaire du Comité de Politique Monétaire (CPM), Yaoundé au Cameroun, sur la crise financière internationale.
Selon le communiqué final qui sanctionne les travaux, les membres du CPM ont recommandé aux Etats membres, la vigilance accrue dans le suivi du système bancaire de la sous-région, qui résiste encore à la crise financière internationale.
« Ils appellent, en outre, à la mise en place le plus rapidement possible du Forum de stabilité financière de la Cemac, gage d’une solidité renforcée de l’ensemble du système financier sous-régionale », indique le communiqué.
Selon Mme Florence Limbio, le forum de stabilité financière dont il s’agit se présente comme un point de discussion qui permettrait de contrôler davantage le système bancaire de la sous-région et de pallier d’éventuels problèmes liés à la crise financière internationale.
Elle a par ailleurs fait remarquer que l’actuelle crise financière internationale n’atteint pas encore la sous-région parce que la Cemac est une zone en développement et ne dispose pas de marché financier rattaché aux marchés mondiaux. C’est pourquoi cette crise n’a pas d’impact direct sur son système bancaire.
Elle a également expliqué que le CPM a noté que « la stabilité financière et monétaire de la Cemac reste solide, mais que le ralentissement de l’économie mondiale et la baisse des prix des matières premières risquent d’affecter l’activité ».
En revanche, « le Comité de Politique Monétaire s’est félicité des efforts concertés des Banques Centrales, des institutions financières et des pouvoirs publics pour juguler cette crise ».
A cet effet, il a demandé aux Etats membres de poursuivre des politiques budgétaires prudentes et à accélérer les réformes structurelles et la mise en œuvre du programme économique régional, en vue d’asseoir à moyen terme les bases d’une croissance forte, diversifiée et durable.
Mme Limbio a enfin fait remarquer que même si le système bancaire de la sous-région de l’Afrique Centrale est pour l’instant épargné des impacts directs de la crise financière internationale, il pourrait y avoir des impacts indirects sur les pays en voie de développement.
C’est pourquoi l’on devrait réfléchir à la mise en place d’une politique monétaire sous-régionale pouvant contribuer à maîtriser cette crise.
Selon le communiqué final qui sanctionne les travaux, les membres du CPM ont recommandé aux Etats membres, la vigilance accrue dans le suivi du système bancaire de la sous-région, qui résiste encore à la crise financière internationale.
« Ils appellent, en outre, à la mise en place le plus rapidement possible du Forum de stabilité financière de la Cemac, gage d’une solidité renforcée de l’ensemble du système financier sous-régionale », indique le communiqué.
Selon Mme Florence Limbio, le forum de stabilité financière dont il s’agit se présente comme un point de discussion qui permettrait de contrôler davantage le système bancaire de la sous-région et de pallier d’éventuels problèmes liés à la crise financière internationale.
Elle a par ailleurs fait remarquer que l’actuelle crise financière internationale n’atteint pas encore la sous-région parce que la Cemac est une zone en développement et ne dispose pas de marché financier rattaché aux marchés mondiaux. C’est pourquoi cette crise n’a pas d’impact direct sur son système bancaire.
Elle a également expliqué que le CPM a noté que « la stabilité financière et monétaire de la Cemac reste solide, mais que le ralentissement de l’économie mondiale et la baisse des prix des matières premières risquent d’affecter l’activité ».
En revanche, « le Comité de Politique Monétaire s’est félicité des efforts concertés des Banques Centrales, des institutions financières et des pouvoirs publics pour juguler cette crise ».
A cet effet, il a demandé aux Etats membres de poursuivre des politiques budgétaires prudentes et à accélérer les réformes structurelles et la mise en œuvre du programme économique régional, en vue d’asseoir à moyen terme les bases d’une croissance forte, diversifiée et durable.
Mme Limbio a enfin fait remarquer que même si le système bancaire de la sous-région de l’Afrique Centrale est pour l’instant épargné des impacts directs de la crise financière internationale, il pourrait y avoir des impacts indirects sur les pays en voie de développement.
C’est pourquoi l’on devrait réfléchir à la mise en place d’une politique monétaire sous-régionale pouvant contribuer à maîtriser cette crise.
