Une cinquantaine de personnes venues de différents départements ministériels, des organismes internationaux et de la société civile prennent part à cet atelier prévu pour 3 jours, qui a également pour but de favoriser un échange de connaissances et une analyse approfondie de la question de l’intégration des biocarburants en République Centrafricaine.
« L’engagement de la République centrafricaine dans l’intégration des biocarburants dans notre paysage énergétique doit donc nécessairement s’accompagner d’une prise en compte de tous ces enjeux de manière à éviter toutes expositions à des risques majeurs dont la déforestation, la création d’une conflictualité entre nourriture et carburant avec en toile de fond, la question du choix entre manger et rouler.»
Dans une perspective de développement durable, la République Centrafricaine, qui dispose d’assez de surface arable pour la culture à grande échelle de jathropha et de nim, variétés de plante destinées à la production de biodiesel, envisage de se tourner vers la production de biocarburants en vue de réduire sa dépendance envers les carburants fossiles.
L’adoption prochaine d’une loi sur les biocarburants devrait mettre en place le cadre juridique et institutionnel qui faisait défaut jusqu’ici.
« L’engagement de la République centrafricaine dans l’intégration des biocarburants dans notre paysage énergétique doit donc nécessairement s’accompagner d’une prise en compte de tous ces enjeux de manière à éviter toutes expositions à des risques majeurs dont la déforestation, la création d’une conflictualité entre nourriture et carburant avec en toile de fond, la question du choix entre manger et rouler.»
Dans une perspective de développement durable, la République Centrafricaine, qui dispose d’assez de surface arable pour la culture à grande échelle de jathropha et de nim, variétés de plante destinées à la production de biodiesel, envisage de se tourner vers la production de biocarburants en vue de réduire sa dépendance envers les carburants fossiles.
L’adoption prochaine d’une loi sur les biocarburants devrait mettre en place le cadre juridique et institutionnel qui faisait défaut jusqu’ici.