POLITIQUE
L’objectif de cette remise de matériels agricoles et des semences aux groupements des maraichers est d’inciter les membres à augmenter la quantité des vivres tels que les amarantes, le gombo et l’oignon sur le marché afin de générer des ressources supplémentaires leur permettant de subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles.
Ce programme d’urgence, financé par la Banque mondiale et exécuté par la FAO, en partenariat avec le Ministère du Développement du monde rurale, concerne 2520 ménages répartis dans 126 groupements des maraichers. Chaque groupement a bénéficié d’un lot d’outils composé de 20 pèles, 20 arrosoirs, 20 râteaux ainsi que 80 sachets de semence d’amarante, 80 sachets de semence de gombo et 80 sachets de semence de oignon.
Si les groupements de Bangui ont reçu des intrants, M. Alexis Bonte a fait savoir que les groupements des seize préfectures de la République Centrafricaine bénéficieront plutôt de semences vivrières. Cela « leur permettra de reprendre les activités agricoles et reprendre une vie normale et agréable après toutes les secousses qu’ils ont connues ».
Et pour stimuler les groupements des maraichers à donner le meilleur d’eux-mêmes, M. Alexis Bonte a fait allusion à l’arrivée prochaine en République Centrafricaine de plus de 800 membres de la mission des Nations Unies à Bangui. Il a estimé que cette présence sera une opportunité assez extraordinaire pour les maraîchers, car ces personnes vont vouloir déguster des légumes et de la viande produits localement ».
Mais attention, a prévenu le présentant ai de la FAO. Les rapports obéiront à des contraintes puisque ces personnes désireront des aliments de qualité fournis en quantité de manière très régulière. C’est pourquoi, il a préconisé une réunion regroupant autour d’une même table « les cadres du Ministère du Développement du monde rural, ceux de la FAO, les représentants des groupements des maraîchers et ceux qui feront les achats d’aliments pour cette mission afin de comprendre les exigences ».
Il a enfin annoncé d’autres activités susceptibles d’être déployées très bientôt. Il s’agit d’une part des activités de résilience et d’autre part des activités de microfinance, pour lesquelles les groupements des femmes sont déjà mieux rodés.
Il faut rappeler que depuis décembre 2012, la République Centrafricaine est plongée dans une spirale de crise qui a affecté presque tous les secteurs d’activité et qui persiste. Devant les effets de la crise, puisque le secteur de l’agriculture et de l’élevage a été déstabilisé et que les vivres se sont raréfiés, la FAO est intervenue pour aider à combattre la malnutrition et la faim et promouvoir une meilleure sécurité alimentaire et même financière.
Ce programme d’urgence, financé par la Banque mondiale et exécuté par la FAO, en partenariat avec le Ministère du Développement du monde rurale, concerne 2520 ménages répartis dans 126 groupements des maraichers. Chaque groupement a bénéficié d’un lot d’outils composé de 20 pèles, 20 arrosoirs, 20 râteaux ainsi que 80 sachets de semence d’amarante, 80 sachets de semence de gombo et 80 sachets de semence de oignon.
Si les groupements de Bangui ont reçu des intrants, M. Alexis Bonte a fait savoir que les groupements des seize préfectures de la République Centrafricaine bénéficieront plutôt de semences vivrières. Cela « leur permettra de reprendre les activités agricoles et reprendre une vie normale et agréable après toutes les secousses qu’ils ont connues ».
Et pour stimuler les groupements des maraichers à donner le meilleur d’eux-mêmes, M. Alexis Bonte a fait allusion à l’arrivée prochaine en République Centrafricaine de plus de 800 membres de la mission des Nations Unies à Bangui. Il a estimé que cette présence sera une opportunité assez extraordinaire pour les maraîchers, car ces personnes vont vouloir déguster des légumes et de la viande produits localement ».
Mais attention, a prévenu le présentant ai de la FAO. Les rapports obéiront à des contraintes puisque ces personnes désireront des aliments de qualité fournis en quantité de manière très régulière. C’est pourquoi, il a préconisé une réunion regroupant autour d’une même table « les cadres du Ministère du Développement du monde rural, ceux de la FAO, les représentants des groupements des maraîchers et ceux qui feront les achats d’aliments pour cette mission afin de comprendre les exigences ».
Il a enfin annoncé d’autres activités susceptibles d’être déployées très bientôt. Il s’agit d’une part des activités de résilience et d’autre part des activités de microfinance, pour lesquelles les groupements des femmes sont déjà mieux rodés.
Il faut rappeler que depuis décembre 2012, la République Centrafricaine est plongée dans une spirale de crise qui a affecté presque tous les secteurs d’activité et qui persiste. Devant les effets de la crise, puisque le secteur de l’agriculture et de l’élevage a été déstabilisé et que les vivres se sont raréfiés, la FAO est intervenue pour aider à combattre la malnutrition et la faim et promouvoir une meilleure sécurité alimentaire et même financière.
