Organisé par le ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération Internationale avec le concours financier et technique du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), cette rencontre d’une journée permet de finaliser avec la contribution de toutes les parties prenantes les engagements des chefs d’Etats et de gouvernements pour un « monde digne des enfants », réunis en mai 2002, à la session extraordinaire de l’assemblée générale consacrée aux enfants.
Mme Marie-Solange Pagonendji Ndakala, ministre de la Famille, des Affaires sociales et de la Solidarité nationale a déclaré à cette occasion que « la Centrafrique s’est engagée avec les partenaires au développement à tout mettre en œuvre pour contribuer à la construction d’un monde digne des enfants, malgré les crises militaro-politiques qui ont secoué le pays ».
Elle a souligné que le gouvernement a mené des actions concrètes dans le domaine de la législation en faveur de la mère et de l’enfant, ainsi que dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’assainissement.
La ministre de la Famille a relevé que le document soumis à l’examen des séminaristes place les droits de l’enfant au centre des efforts qui visent à promouvoir les conditions d'une vie saine par la réduction du taux de mortalité des enfants, à protéger les enfants contre la maltraitance, l’exploitation et la violence.
Pour le Chargé du bureau de l’Unicef à Bangui, M. Seydina Oumar Tounkara, « ce rapport va nous aider à avoir une idée sur les objectifs que nous nous sommes fixés ensemble avec la communauté internationale pour un meilleur devenir de nos enfants ».
Il a conclu que « l’Unicef reste toujours disposé à accompagner le gouvernement centrafricain dans la planification et l’exécution des actions, mais également dans le suivi de la mise en œuvre sur le terrain dans le seul intérêt des enfants et pour leur bien être ».
Mme Marie-Solange Pagonendji Ndakala, ministre de la Famille, des Affaires sociales et de la Solidarité nationale a déclaré à cette occasion que « la Centrafrique s’est engagée avec les partenaires au développement à tout mettre en œuvre pour contribuer à la construction d’un monde digne des enfants, malgré les crises militaro-politiques qui ont secoué le pays ».
Elle a souligné que le gouvernement a mené des actions concrètes dans le domaine de la législation en faveur de la mère et de l’enfant, ainsi que dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’assainissement.
La ministre de la Famille a relevé que le document soumis à l’examen des séminaristes place les droits de l’enfant au centre des efforts qui visent à promouvoir les conditions d'une vie saine par la réduction du taux de mortalité des enfants, à protéger les enfants contre la maltraitance, l’exploitation et la violence.
Pour le Chargé du bureau de l’Unicef à Bangui, M. Seydina Oumar Tounkara, « ce rapport va nous aider à avoir une idée sur les objectifs que nous nous sommes fixés ensemble avec la communauté internationale pour un meilleur devenir de nos enfants ».
Il a conclu que « l’Unicef reste toujours disposé à accompagner le gouvernement centrafricain dans la planification et l’exécution des actions, mais également dans le suivi de la mise en œuvre sur le terrain dans le seul intérêt des enfants et pour leur bien être ».